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| Jean Léonetti, fin de vie | |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 30.09.21 13:08 | |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 02.10.21 21:39 | |
| TRIBUNE Fins de vie inhumaines : levons l’hypocrisie de la loi Claeys-Leonetti Alors qu’une proposition de loi portant sur la fin de vie est débattue ce jeudi à l’Assemblée, un collectif de citoyens témoigne de l’imposture de la loi Claeys-Leonetti.par un collectif de citoyenspublié le 8 avril 2021 à 9h00 Certains relatent les derniers jours épouvantables de leur proche, mais leurs témoignages restent isolés. Ensemble, nous témoignons et rompons le silence.Moi, Elisabeth, j’ai vu mon bien-aimé se réveiller en étouffant d’une sédation qui n’en n’était pas une. Je ne peux oublier sa suffocation, l’air qu’il cherchait dans son ventre et ses côtes, son regard implorant, l’abandon dans lequel le réseau de soins palliatifs nous a laissés, seuls à domicile, en ce mois d’août. Refusant de croire ce que je leur décrivais au téléphone, ils me rétorqueront : «Soulager plus, ce ne serait pas éthique !» Aucun soignant de ce réseau de soins palliatifs ne se déplacera. Ils ne mobiliseront personne pour nous aider. Ils me diront plus tard avoir cru que j’exagérais intentionnellement la description de la détresse respiratoire de mon mari. La veille, en effet, ils étaient revenus unilatéralement sur la décision d’une sédation profonde pourtant déjà actée collégialement. De l’ultime «au revoir» que nous rêvions à l’aune de notre amour, ils ont fait un champ de massacre.Lettres sans réponseDes femmes, des hommes, les signataires de cet article, ont eu le courage de témoigner : lettres sans réponse au président de la République, au ministre de la Santé, à un député, au directeur d’un hôpital… Certains ont même vu leur article publié ou leur témoignage entendu sur un plateau de télévision. Eux, moi et combien d’autres gardent en tête et au cœur la souffrance de leur proche, leur sentiment d’impuissance. Impuissants face à l’hypocrisie de la loi Claeys-Leonetti derrière laquelle se sont drapées des équipes soignantes dont ils ont été alors les otages. Bien sûr, ces fins de vie cauchemardesques ne sont pas, heureusement, les plus nombreuses. Il y a de vrais soignants, humains, capables d’entendre et soulager les souffrances de fin de vie.Mais nous ne pouvons effacer ces images épouvantables : gémissements, sondes arrachées, regards suppliants, corps décharnés et déshydratés, escarres qui font crier à la moindre mobilisation, refus d’entendre les signes de détresse respiratoire, refus d’endormir l’être aimé «pas encore assez proche de son ultime agonie»… Dans ces fins de vie, une lecture tatillonne de la loi et de ses conditions d’application, la peur d’une dénonciation pour délit d’euthanasie et parfois des convictions idéologiques non énoncées clairement ont assigné mourants et familles à des souffrances inhumaines et des agonies interminables… Nous nous sommes promis de témoigner. Plus jamais ça pour d’autres !A lire aussi Police / Justice 7 mars 2021abonnésOn ne peut rendre le corps médical coupable de tout, mais cette loi est une montagne d’hypocrisie. En brandissant le refus d’euthanasie, elle cautionne la lâcheté.Lâcheté de nos gouvernants. Sourds et aveugles à la demande des Français de simplement «avoir le choix» d’une possible aide médicale à mourir, ils encensent les soins palliatifs en guise d’absolution.«Euthanasie», le grand vilain motLâcheté et hypocrisie des procédures. Minimiser la souffrance d’un malade, cela permet de ne pas y répondre. Endormir pour soulager, ne serait-ce pas flirter avec l’euthanasie ? Euthanasie, le grand vilain mot qui traîne derrière lui la peur de poursuites judiciaires par une famille, d’une dénonciation par des collègues (mais oui !), quand ce n’est pas un interdit religieux. Pour ceux-là, il vaut mieux ne pas entendre, parce que oui, même pour les soignants, la souffrance impossible à soulager, la mort, cela fait peur. Alors certains se cachent derrière les procédures impossibles de la Haute Autorité de santé, la dilution des responsabilités entre soignants, des convictions idéologiques non énoncées… Empêtrés dans une loi ambiguë, yeux et oreilles bouchés, ces soignants-là ont transformé la fin de vie de nos êtres chers en une litanie de cauchemars et tortures. Malgré concertations collégiales, fin de vie avérée, personnes de confiance… soins palliatifs ou pas. Et même souvent pire avec «un certain nombre d’experts en soins palliatifs» (1).La loi Claeys-Leonetti abrite ces grandes et petites lâchetés. Elle ne nous protège pas. Il faut la changer. Il faut offrir à qui le demande en conviction le droit à une aide médicale à mourir. Il faut rendre les directives anticipées opposables aux médecins. Il faut protéger et accompagner les médecins qui accepteront de donner un dernier soin compassionnel à ceux qui le souhaitent.Signataires : Elisabeth Condamines et Marie-France Blanchetière, Gisèle Brunel, Philippe Cadet, Christine Charpentier, Michel, Nicole et Elisabeth Crusellar, Isabelle Daillon, Henriette Dionnet, Marie-José Godart et Natacha Godart-Tepin, Cathy Giambra, Elsa Jossilévitch, Laurie Larcher, Marion et Franck Noury, Sylvette Joyeux, Denis Labayle, Véronique Mathieu, Renée Moriconi, Claudette Pierret, Evelyne Reberg, Elisabeth R., Geneviève Sergeant, membres de l’association le Choix, qui milite pour une mort choisie.(1) La sédation profonde et continue jusqu’au décès en France, deux ans après l’adoption de la loi Claeys-Leonetti, Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), 2018, 64 pp ; p. 46 et 54. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 03.10.21 12:21 | |
| est-on sot si on fait des sauts entre les mots et les maux ? au nom du Père, du Fils et du St-Esprit Liberté, Fraternité, Egalité Désolée... Admin |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 03.10.21 19:37 | |
| je pense qu'il faut souhaiter le suicide de JL ? je veux dire que JL est bouché comme quelques uns en soins palliatifs... ... il n'y a rien à attendre des " cathos " ... pour un nouveau droit de mourir dignement désolée |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 05.10.21 14:04 | |
| après tout, si vous êtes obsédé par votre style d'euthanasie passive à tel point que vous ne pouvez pas envisager toute modification cependant je m'interroge sur des viols ( ou des tentatives de viol ) sur des patients en coma profond, sur des essais thérapeutiques parfaitement non-dits et sur l'impact psychologique de votre acharnement obsessionnel.... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 05.10.21 14:22 | |
| PUBLIÉ LE01 OCTOBRE 2021 PAR MARC GOZLAN Mort après avoir bu beaucoup trop vite un litre et demi de Coca-Cola Wikimedia Commons C’est l’histoire d’un Chinois de 22 ans admis aux urgences d’un hôpital de Pékin pour une douleur aiguë dans la partie supérieure de l’abdomen qui apparaît très distendue depuis quatre heures. Son cœur s’emballe (130 battements par minute) et sa fréquence respiratoire est élevée (32 cycles par minute alors que la normale se situe entre 10 et 20). Sa température corporelle est légèrement élevée (37,2°C). Ce patient ne présente pas de maladie chronique. En particulier, il n’est ni hypertendu, ni diabétique. Du gaz dans la veine porte Le scanner abdominal montre la présence de gaz dans la veine porte, le gros vaisseau qui achemine vers le foie le sang veineux de l’ensemble du tube digestif. En plus de cette image radiologique anormale (dénommée aéroportie dans le jargon médical), les radiologues notent la présence de bulles gazeuses au sein de la paroi intestinale (pneumatose pariétale). Enfin, le scanner montre un défaut de vascularisation du foie (ischémie hépatique). A : Flèches pointant sur une pneumatose des branches intrahépatiques de la veine porte (présence d’air dans ce vaisseau drainant le sang veineux de l’appareil digestif). B : Accumulation de gaz dans la paroi intestinale (petites flèches). La grande flèche pointe vers l’artère mésentérique supérieure. Lyu S et al. Clin Res Hepatol Gastroenterol. 2021 May;45(3):101682. L’interrogatoire révèle que le jeune homme, qui avait très soif parce qu’il faisait très chaud, a bu 1,5 litre de Coca-Cola en à peine dix minutes. Une aspiration du contenu gastrique est immédiatement entreprise pour procéder à une décompression gastro-intestinale. Le patient se voit également administrer des anti-inflammatoires et d’autres traitements, notamment pour protéger son foie. Douze heures plus tard, les examens sanguins montrent une élévation des enzymes hépatiques, témoignant d’une altération du fonctionnement du foie. L’état circulatoire du patient se détériore rapidement, ce qui nécessite l’injection d’une forte dose d’adrénaline pour maintenir la pression artérielle. Mais rien n’y fait, le jeune homme décède dix-huit heures après le début de sa prise en charge. Chez ce patient, le fait d’avoir bu une grande quantité de Coca-Cola en aussi peu de temps a entraîné une accumulation de gaz dans le tube digestif, puis à une augmentation soudaine de la pression intestinale qui a conduit à la présence de gaz dans la veine porte. Ce phénomène se serait produit après ingestion massive et rapide de tout autre soda gazeux. Ce cas clinique hors normes a été rapporté en mai 2021 par des chirurgiens digestifs de l’hôpital Chaoyang de Pékin dans la revue Clinics and Research in Hepatology and Gastroenterology. Plusieurs cas de dilatation aiguë gastrique, suivie ou non d’une nécrose ou de rupture de l’estomac, ont été décrits dans la littérature médicale, le plus souvent en rapport avec un accès de boulimie. On recense une soixantaine de cas de nécrose de l’estomac suite à une dilatation aiguë gastrique. Buffet à volonté En 2019, des médecins légistes japonais ont rapporté le cas d’un homme de 36 ans, présentant un léger retard mental. Un après-midi, il se rend dans un restaurant avec des amis. Au menu : un buffet à volonté (all you can eat barbecue) pendant une durée de 90 minutes, avec sushis, plats d’accompagnement, riz et nouilles. Selon les personnes qui l’accompagnaient, notre homme a notamment enfourné deux ou trois menus barbecue bien garnis, ainsi que deux grosses portions de sushi, de riz au curry, de poulet frit, de pommes de terre, des desserts, le tout, arrosé copieusement de boissons gazeuses. Vers la fin du repas, il commence à se sentir mal et s’allonge. A la sortie du restaurant, il se plaint d’être malade mais ne vomit pas*. Son père l’amène alors à l’hôpital. Après avoir pris des médicaments censés le soulager, il est renvoyé chez lui. Cinq heures plus tard, il se rend dans un autre hôpital car les nausées persistent et il n’arrive pas à trouver le sommeil. Là encore, après avoir avalé des comprimés pour faire passer son indigestion, il regagne son domicile. Le lendemain, il se rend dans un troisième hôpital car son état ne s’améliore toujours pas. Il est perfusé et renvoyé chez lui. Ne constatant aucune amélioration, notre homme décide de consulter à nouveau dans le même hôpital. Durant le trajet en voiture, son état se détériore rapidement. Il est alors transféré en ambulance à l’hôpital de Sagamihara (préfecture de Kanagawa). Le patient est intubé car il ne respirait plus spontanément. Le scanner du corps entier montre une importante dilatation de l’estomac. Une sonde gastrique est insérée. Elle aspire deux litres de contenu. Malgré les traitements administrés, le patient décède environ cinq heures après son admission à l’hôpital. L’enquête de police indique que cet homme n’a pas pour habitude de trop manger et n’avait pas de soucis de santé. Il est de corpulence mince, ne pesant que 48 kg pour 1,64 m. L’autopsie montre que l’estomac est extrêmement distendu et contient un litre de sang noirâtre en plus de restes non digérés de maïs, de choux, de riz, entre autres aliments. L’ensemble de la muqueuse gastrique est hémorragique. Quant à l’examen histologique, il révèle la présence d’une nécrose sur la totalité de la paroi de l’estomac, de la muqueuse aux couches musculaires. Au vu des images du scanner, les chirurgiens japonais ont suspecté que leur patient pouvait présenter le syndrome de l’artère mésentérique supérieure. Celui-ci résulte de la compression de la première portion de l’intestin grêle (duodénum) qui se retrouve coincé entre cette artère et l’aorte. Selon eux, le repas hyper-copieux a provoqué une distension gastrique. Cette dernière aurait été favorisée par une obstruction du duodénum, secondaire au syndrome de l’artère mésentérique supérieure, ce qui a empêché la vidange gastrique. Importance d’un diagnostic précoce Quoi qu’il en soit, les auteurs soulignent qu’un diagnostic précoce et un traitement rapide sont nécessaires en cas de dilatation gastrique. Et de conclure que « les cliniciens doivent avoir à l’esprit qu’une dilatation aiguë gastrique peut résulter d’un repas très abondant, même chez les personnes qui ne présentent pas un trouble des conduites alimentaires ». Les lecteurs de ce blog se souviennent peut-être du cas d’un enfant de 11 ans ayant succombé, durant le mois de Ramadan, à la suite d’un repas copieux arrosé d’un soda de fabrication locale. Ce cas avait été rapporté en 2016 par des chirurgiens pédiatres turcs dans la revue Pediatric Emergency Care. Après un jeûne de douze heures, le garçonnet avait avalé deux grandes portions d’une pâte à pizza recouverte de viande émincée. Ce repas correspondait à 180 g de pâte, 120 g de viande et 100 g de légumes. Il avait également ingurgité 300 g de crème glacée, un grand paquet de chips et des raisins. Tenaillé également par la soif, l’enfant avait bu un litre de soda. Admis à l’hôpital pour un abdomen extrêmement distendu, il devait décéder après une période de réanimation qui avait duré 45 minutes. Pour conclure ce billet relatant un nouveau cas de dilatation aiguë gastrique ayant tourné au drame, permettez-moi de vous redonner ce conseil de grand-mère : mangez lentement, mâchez convenablement les aliments et quittez la table en ayant encore un peu faim, mais en aucun cas, l’estomac gonflé à bloc ! Marc Gozlan (Suivez-moi sur Twitter, Facebook, LinkedIn) * La distension de l’estomac conduit à une paralysie du système parasympathique, à l’origine d’une diminution de la contraction qui, elle-même, renforce la dilatation gastrique. Par ailleurs, du fait de la dilatation du corps gastrique, l’angle entre l’œsophage et le hiatus œsophagien (orifice situé dans le pilier droit du diaphragme) devient plus aigu. La jonction œso-gastrique fonctionne alors comme une valve à sens unique, avec pour conséquence une obstruction et une impossibilité de vomir. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 07.10.21 14:40 | |
| La proposition de loi sur l’IVG bientôt de retour à l’Assemblée : «Il est nécessaire d’allonger les délais», maintient Christophe Castaner Le président des députés LREM va remettre à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi allongeant le délai légal de l’interruption volontaire de grossesse de 12 à 14 semaines. Il promet que le texte, cible d’une obstruction de la droite, pourra cette fois aboutir. «Nous souhaitons que ce texte aboutisse», assure Christophe Castaner, qui assure que la proposition de loi allongeant le délai de l'IVG peut être adoptée avant la présidentielle. LP/Philippe de Poulpiquet «Nous souhaitons que ce texte aboutisse», assure Christophe Castaner, qui assure que la proposition de loi allongeant le délai de l'IVG peut être adoptée avant la présidentielle. LP/Philippe de Poulpiquet 10 Par Olivier Beaumont et Pauline Théveniaud Le 6 octobre 2021 à 21h15, modifié le 7 octobre 2021 à 06h30 Après un an d’âpres débats en première lecture à l’Assemblée et au Sénat, et de tergiversations au sein de la majorité, le patron des députés LREM Christophe Castaner veut profiter de la niche parlementaire de novembre pour inscrire à l’ordre du jour la proposition de loi allongeant le délai de l’IVG de 12 à 14 semaines. Avec l’espoir qu’elle soit adoptée avant la fin du quinquennat....
Marisol Touraine ( Ministre de la Santé ) sous le quinquennat précédent avait parlé d'avorter sa fin de vie. Dire pour ne pas faire ou faire sans rien dire ?avorter ou ne pas avorter le lobby Léonetti ?( j'ai envie de dégueuler, sorry ! |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 07.10.21 20:19 | |
| Jean Léonetti qui perd sa tête comme Jacques Chirac, çà ne me déplairaît pas. Comme je peux être méchante ! Faut-il que je remercie les uns et les autres pour être encore en vie ? j'ai tout quitté, il ne me reste plus rien. Je ne crois plus en rien. C'est comme si le vide était en moi et autour de moi. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 10.10.21 22:17 | |
| Vraiment désolée mais je ne pige pas cet acharnement pour le lobby Léonetti et le vide à propos du cannabis thérapeutique c'est nul, tout ceci ( au fait, les hôpitaux pourraient prendre en charge les toxicomanes, non ? ) |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 11.10.21 12:06 | |
| Laisser laisser aller à la longue on a envie de tuer, et de se tuer c'est presque physique c'est psychologique ? pan pan ! surtout blesser avant de tuer pour se tuer vite fait, bien fait ??? ??? ??? Liberté, Fraternité, Egalité ??? au nom du Père, du Fils et du St-Esprit ainsi soit-il ??? ??? ??? ??? |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 11.10.21 14:24 | |
| la parole d'une victime du Bataclan = "ce n'est plus une vie, c'est une survie". Jean Léonetti me fait survivre ou pas ? |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 13.10.21 12:01 | |
| j'ai mal et je tremble je tremble et j'ai mal on s'en fout |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 13.10.21 17:33 | |
| chacun dans sa bulle ! les docteurs et/ou les patients |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 13.10.21 17:38 | |
| faut pas m'emmerder avec les effets secondaires du doliprane et du nurofen s'ils agissent au niveau de ma douleur, c'est déjà pas mal le reste, on s'en fout puisque je vais mourir de toute façon... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 13.10.21 21:39 | |
| Alors quand est-ce que vous crevez, Jean Léonetti ? vous avez ce qu'il faut pour çà... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 20.10.21 17:25 | |
| Marseille : le débat sur la fin de vie relancé après la mort d'une sexagénaire tuée par son mari à l'hôpital nord Dans la nuit de mardi à mercredi, un homme de 71 ans a tué sa femme de 69 ans à l'hôpital nord de Marseille avant de se suicider. Dans une lettre, il explique les raisons de son geste : son épouse était en phase terminale de la maladie de Charcot. Publié le 20/10/2021 à 14h02 • Mis à jour le 20/10/2021 à 14h12 Dans une lettre, l'homme explique que sa femme était atteinte de la maladie de Charcot. Dans une lettre, l'homme explique que sa femme était atteinte de la maladie de Charcot. • VALLAURI Nicolas/PHOTOPQR/LA PROVENCE/MAXPPP Bouches-du-Rhône Marseille Les coups de feu ont retenti aux alentours de 3h du matin, dans les couloirs de l'hôpital Nord, à Marseille. Alertée, la police a découvert sur place le corps d'une femme de 69 ans allongée dans son lit, morte d'une balle dans la tête, et le corps d'un homme de 71 ans, une balle dans la bouche. Un pistolet automatique a également été retrouvé. L'homme a tué sa femme avant de retourner l'arme contre lui, rapporte Stéphane Berdah, chef de service à l'hôpital Nord, confirmant une information France Bleu. Cette dernière venait de sortir de réanimation après une chirurgie lourde, explique Stéphane Berdah. Son mari était présent à ses côtés, du fait de cette intervention. En raison de la crise sanitaire, les accompagnements sont strictement encadrés. La situation de cette femme permettait une exception. "Personne n'est fouillé à l'entrée de l'hôpital, c'était un drame inévitable qui a beaucoup traumatisé les soignants", ajoute le chef de service. Dans une lettre retrouvée sur les lieux, l'homme explique son acte. Son épouse était atteinte de la maladie de Charcot en phase terminale. Devant l'évolution de cette maladie chronique grave, le couple aurait alors passé un engagement. Le suicide assisté en débat Ce fait-divers pose la question du suicide assisté, et de l'euthanasie. En avril dernier, la proposition de loi "donnant le droit à une fin de vie libre et choisie" du député PRG de la Charente-Maritime, Olivier Falorni, a été examinée à l'Assemblée nationale. Faute d'avoir pu être votée par manque de temps et face à plus de 3.000 amendements, la proposition de loi a relancé le débat. Que prévoit le texte ? La possibilité pour toute personne "en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable (…) lui infligeant une souffrance physique ou psychique qui ne peut être apaisée ou qu’elle juge insupportable", de "disposer d’une assistance médicalisée permettant, par une aide active, une mort rapide et sans douleur". Pour Jean-Marc La Piana, docteur au centre de soins palliatifs La Maison, à Gardanne, la question est vite tranchée. "On voudrait tous pouvoir choisir le moment de sa mort, ça, c'est le fantasme. Mais dans la réalité, quand l'échéance approche, on est beaucoup plus ambigus." "En arrivant chez nous, beaucoup de gens réclament de pouvoir mourir. Et puis finalement, la qualité des soins faisant, les voilà moins pressés ! 'N'en parlons plus aujourd'hui, on verra bien demain', nous disent-ils. Parce qu'on répond à leur demande de confort au quotidien." Le confort, c'est les soins palliatifs. Et en cas de détresse, physique ou morale, trop intense, les patients ont droit à une "sédation profonde et continue", autrement dit, l'euthanasie passive, permise par la loi Claeys-Leonetti. Insuffisant, pour la grande majorité des Français. D’après un sondage Ifop d’avril 2021, 9 Français sur 10 considèrent aujourd’hui que la loi devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables. Et ce si elles en font la demande. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 20.10.21 17:32 | |
| je me fais l'avocate du diable
"Cette dernière venait de sortir de réanimation après une chirurgie lourde, explique Stéphane Berdah"
demander un soin, puis une euthanasie après, est-ce cohérent ? |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 21.10.21 12:14 | |
| Omar m'a tuée Jean Léonetti me tue je voudrais juste une piqûre de Valium pour me détendre mais c'est mendier auprès des médecins j'ai un minimum de dignité de toute façon je n'aurai pas cette piqûre de Valium alors inutile d'en parler j'en ai marre, seulement je ne suis pas la seule à en avoir marre j'ai des idées... ( souhaiter la mort des autres ), les idées imaginaires peuvent consoler... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 23.10.21 23:34 | |
| je me cite : Valérie Pécresse contre Anne Hidalgo ? ah, les bonnes femmes ! attention ! le mieux, c'est de NE PAS ( ou NE PLUS ) voter ! des bonnes femmes contre Jean Léonetti ? ????? ??? ????? à la limite, pas la peine de se poser la question !
je veux dire par là qu'il faut que JL soit mort pour qu'on puisse avoir une nouvelle loi |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 25.10.21 13:17 | |
| HARCÈLEMENT SCOLAIRE: POUR JEAN-MICHEL BLANQUER, LE SUICIDE DE DINAH, 14 ANS, "DOIT NOUS ALERTER" N.J Le 25/10/2021 à 10:18 Le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer à Paris, le 26 août 2021 Le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer à Paris, le 26 août 2021 - Christophe ARCHAMBAULT 2019 AFP Après le suicide de Dinah, une adolescente de 14 ans harcelée à l'école, le ministre de l'Education nationale est revenu ce lundi matin sur les violences en milieu scolaire, tout en appelant "garder beaucoup de sang-froid". Fermeté et sang-froid. "Le laxisme ne fait pas partie de mon registre", a assuré Jean-Michel Blanquer ce lundi matin sur Europe 1, appelant à "ne pas s'emballer". Après le suicide début octobre de Dinah, une adolescente de 14 ans victime de harcèlement dans son établissement scolaire, le ministre de l'Education nationale, est revenu sur les violences en milieu scolaire. Cette affaire "doit nous alerter", insiste-t-il. "Chaque cas est particulier et s'agissant de la réaction il faut évidemment être d'une grande sévérité", a pointé le ministre, appelant à former "toute la société". Soit sensibiliser les parents, les professeurs et les enfants. Il a rappelé les effets de son plan anti-violence élaboré en 2019, le plan pHARe. "Beaucoup d'établissements ont progressé dans la lutte contre le harcèlement, mais nous avons encore des difficultés concernant le cyberharcèlement", a reconnu le ministre, expliquant avoir récemment convoqué les plateformes. Objectifs: empêcher leur usage avant 13 ans, retirer les contenus haineux... "Ce n'est pas une fatalité", a-t-il affirmé. "Il faut garder beaucoup de sang-froid" "Il y a moins d’autocensure. Si les professeurs savent que s’ils signalent [des faits de violence], il y a un suivi", a-t-il affirmé. Le ministre rejette tout "cliché sur l’éducation nationale, notamment le fameux 'pas de vague' qui serait notre doctrine." A ce sujet, il reprend l'exemple de l'adolescent qui a bousculé sa professeure en Seine-et-Marne début octobre et a écopé de cinq mois de prison avec sursis, estimant que "ce n'est pas rien" pour un mineur. SUR LE MÊME SUJET "Justice pour Dinah": une marche blanche organisée en hommage à l'adolescente victime de harcèlement "Dinah me manque": la mère de l'adolescente victime de harcèlement scolaire témoigne "Il faut garder beaucoup de sang-froid", a insisté Jean-Michel Blanquer, rejettant toute critique de laxisme. "De la prison ferme pour des élèves qui se sont battus ça me paraît excessif", a-t-il défendu. "Avoir des suites pénales pour des faits qui se passent en milieu scolaire, c’est déjà quelque chose d’assez nouveau", a-t-il en revanche souligné. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 25.10.21 13:22 | |
| Concernant la fin de vie, c'est pareil..J'ai été harcelée sur le web à partir de 2008 et j'ai fait plusieurs tentatives de jeûne complet...on s'en fout... ce qui explique que je crache par terre si une église est sur mon chemin et je me torche le cul avec les bulletins de vote... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 25.10.21 20:16 | |
| alors petit Léon... A.C. ? A.C. ! ( Alain Claeys, Alain Cocq ) c'est assez ? cétacés ... ? |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 27.10.21 11:36 | |
| j'ai perdu mon temps ( et mon énergie ) ici en dix ans... que c'est remarquable ! Jean Léonetti a-t-il conscience d'avoir perdu son temps en dix-sept ans ( de 2004 à 2021 ) ? je doute, je ne crois plus, c'est fini... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 29.10.21 10:49 | |
| Etats-Unis : la peine de mort sous le feu des critiques en Oklahoma après une exécution ratée
Le détenu a convulsé à de multiples reprises avant de s’éteindre provoquant la colère des défenseurs du détenu et des anti-peine de mort.Le détenu a été pris de convulsion après qu'il a reçu les produits censés le tuer (Photo d'illustration). AFP/Caroline Groussain[/size] Par Le Parisien avec AFP Le 29 octobre 2021 à 07h41, modifié le 29 octobre 2021 à 07h43 La peine de mort sous le feu des critiques en Oklahoma. Un condamné à mort a été secoué par des vomissements et des convulsions lors de son exécution jeudi en Oklahoma (États-Unis), où les bourreaux ont utilisé un cocktail létal soupçonné de causer d’atroces souffrances. John Grant, un Afro-Américain de 60 ans, avait été condamné en 2000 à la peine capitale pour le meurtre d’une employée de prison. Après avoir reçu le feu vert de la Cour suprême des États-Unis , les autorités pénitentiaires de cet État conservateur du Sud lui ont injecté trois substances et sa mort a été prononcée à 16h21 (23h20 à Paris). Ce protocole avait déjà été appliqué en 2014 et 2015, mais les souffrances apparentes des détenus avaient conduit l’État à déclarer un moratoire sur les exécutions. John Grant « a commencé à convulser peu après l’injection du premier produit » a déclaré un journaliste de l’agence américaine AP, Sean Murphy, qui a assisté à la scène. Selon lui, il a convulsé une vingtaine de fois et a vomi à plusieurs reprises avant de s’éteindre. « J’ai été témoin de 14 exécutions, je n’avais encore jamais vu ça », a ajouté le journaliste. John Grant avait été condamné à la peine de mort pour avoir tué un emploi des services pénitentiaires. (Oklahoma Department of Corrections) AFP or licensors Le calvaire du condamné a immédiatement suscité de vives critiques. « L’Oklahoma avait saboté ses trois dernières tentatives d’exécution avant sa pause de six ans, mais n’a apparemment tiré aucune leçon de cette expérience », a commenté à Robert Dunham, qui dirige le Centre d’information sur la peine de mort (DPIC). [/size] « Le protocole d’exécution de l’Oklahoma n’a pas fonctionné correctement »
« Pour la troisième fois d’affilée, le protocole d’exécution de l’Oklahoma n’a pas fonctionné correctement », a renchéri de son côté Dale Baich, avocat de plusieurs condamnés dont John Grant. « Il ne devrait plus y avoir d’exécutions en Oklahoma avant que débute le procès en février », qui traitera de ce point précis, a-t-il ajouté.
« L’exécution du prisonnier Grant a été effectuée dans le respect des protocoles des services correctionnels de l’Oklahoma et sans complication », s’est défendu dans un communiqué Justin Wolf, le directeur de la communication des services pénitentiaires.
Ces derniers avaient affirmé il y a quelques jours que leur protocole était « humain et efficace » et que les exécutions pouvaient reprendre. L’avocat Dale Baich avait toutefois souligné qu’il restait « des questions sérieuses » sur les douleurs occasionnées par ce cocktail létal et sur sa conformité avec la Constitution américaine qui interdit « les peines cruelles et inhabituelles ». Mercredi une cour d’appel lui avait donné raison et avait suspendu l’exécution. Mais les autorités de l’Oklahoma avaient immédiatement saisi la Cour suprême des États-Unis pour lui demander de renverser cette décision. Sans expliquer ses raisons, la haute juridiction a finalement donné in extremis son feu vert à l’exécution. Ses trois juges progressistes ont toutefois précisé qu’ils n’étaient pas d’accord avec la majorité conservatrice.
À lire aussiAbolition de la peine de mort en Virginie : cinq minutes pour comprendre une décision historique
Le protocole contesté combine un sédatif, le midazolam, et un anesthésiant, censés empêcher la douleur avant l’injection de chlorure de potassium à dose létale. Il avait été utilisé en 2014 pour exécuter Clayton Lockett, mais le condamné avait agonisé pendant 43 minutes dans d’apparentes souffrances. En 2015, un autre condamné, Charles Warner, s’était plaint que son « corps brûlait » avant de s’éteindre, les bourreaux ayant utilisé un produit non conforme. La même erreur avait failli être reproduite en septembre 2015 et une exécution avait été reportée in extremis.
À la suite de ces ratés, un grand jury avait ouvert une enquête et les autorités avaient accepté de suspendre l’application de la peine capitale. En 2020, elles ont finalisé un nouveau protocole et ont fixé en 2021 plusieurs dates d’exécution, à commencer par celle de John Grant.
Peine de mort ratée Peine de survie ratée(Sédation Profonde Continue Jusqu'Au Décès) ???la cerise sur le gâteauon soigne S.A. pour une appendicite... S.A. ce petit con, cette espèce de salopard qui a organisé une sorte de boom funèbre au Bataclan...S.A. logé et nourri avec les impôts des Français et des Françaises...Le ministère de la Justice a communiqué le coût annuel de la détention de Salah Abdeslam à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis. La surveillance de l'auteur présumé des attentats du 13 novembre 2015 à Paris revient à 433 000 euros par an. Salah Abdeslam est le détenu le plus surveillé de France. Mis en examen pour son rôle présumé dans les attentats de Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015, il est détenu à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis depuis le 23 juin 2018. Un important dispositif de surveillance entoure le terroriste, placé à l'isolement, depuis trois ans. Huit agents pénitentiaires sont affectés uniquement à ce détenu à hauts risques et Salah Abdeslam est placé sous vidéosurveillance permanente. Quel est le coût de cette surveillance pour l'administration pénitentiaire ? Le garde des Sceaux Eric Dupont-Moretti a détaillé les dépenses, comme l'a répéré le magazine Capital, en réponse à une question du porte-parole du Rassemblement National Sébastien Chenu. Une veille continue nuit et jour Une veille continue est assurée autour du détenu avec une personne le jour et deux personnes la nuit. Au total huit agents pénitentiaires sont mobilisés ce qui représente un coût de 397 340 euros par an en moyenne. Autre poste de dépense : la nourriture, le blanchissage du linge et le chauffage de la cellule soit 97 euros par jour ou 35 405 euros par an. "Ce coût est celui de n'importe quel détenu écroué à Fleury-Mérogis", précise le ministère de la Justice. Au total, la facture se monte à 433 000 euros par an soit 36 000 euros environ par mois. Avant d'incarcérer Salah Abdeslam à Fleury-Mérogis, l'administration pénitentiaire avait investi dans la mise en place d'un système de vidéoprotection pour un montant de 16 000 euros et installé un dispositif de brouillage des ondes à proximité de la cellule facturé 189 500 euros. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 31.10.21 17:23 | |
| nous sommes obligés de subir: *le changement d'heure *la "dictature" catho : "priez pour nous, Ste Mère de Dieu, maintenant et à l'heure de notre mort" alors nous subissons le lobby Léonetti... pourquoi se plaindre, au fait ? puisqu'on est bien conditionné à subir ! si je veux mourir à toute vitesse en souffrant, mon choix ne peut pas être respecté à cause de la loi Léonetti... ... ... cette loi Léonetti qui donne trop d'importance à la douleur physique pour mépriser la douleur psychologique... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 31.10.21 19:39 | |
| on laisse... comme on jette... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 02.11.21 12:25 | |
| non non, ne mourrez pas, mais vieillissez, si on pouvait assister à votre déchéance physique sur une durée pas trop courte, ce serait chouette ! désolée... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 03.11.21 14:00 | |
| Vraiment désolée mais je refuse de dépendre de "Sens Commun" et pourtant on m'y oblige, ce qui est un non-sens pour moi |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 04.11.21 10:58 | |
| Jean Léonetti parlerait d'un ABUS DE POUVOIR de qui ? de lui-même ??? ??? ??? si les psy existent, ce n'est pas pour rien ! |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 08.11.21 0:06 | |
| DIX-SEPT ans de loi Léonetti et si on y ajoute cinq ans de plus... de quoi dégueuler et chier eh bien cela fera 22 ans de loi Léonetti |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 08.11.21 10:18 | |
| remuer le couteau dans la plaie... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 09.11.21 12:40 | |
| les soins palliatifs pour les patients "en vie" et pour les patients mourants en métropole et DOM les toxicomanes à Marseille et à Paris
même combat pour rien ... depuis longtemps et pour longtemps...
stopdonstopvotestop |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 16.11.21 8:06 | |
| Au CHU de Besançon, questionnement sur les demandes d’aide à mourir Régulièrement, les soignants d’unité de soins palliatifs y sont confrontés. Une équipe du CHU travaille sur les demandes d’aide à mourir pour en analyser le fondement et les réponses qui y sont apportées, dans les limites de la loi Claeys-Leonetti.
Par Fred JIMENEZ - Hier à 05:00 | mis à jour hier à 08:11 - Temps de lecture : 3 min 1 | | Vu 8577 fois
Aline Chassagne est ingénieure de recherche au CHU Jean Minjoz de Besançon, sur les enjeux éthiques en situation de progrès médical au Centre d’investigations cliniques, notamment sur la question de fin de vie. Photo ER/Frédéric JIMENEZ
La disparition de deux personnalités comtoises, Paulette Guinchard puis Jean-Loup Coly, à quelques mois d’intervalle, ravive le débat autour de la mort assistée. Tous deux ont bénéficié de ce dispositif, légal en Suisse depuis 1942. En France, le débat est toujours vif et peine à être tranchée tant les questions éthiques posées sont complexes. « La loi Claeys-Leonetti, qui autorise depuis 2016 la sédation pour mettre fin à la souffrance réfractaire, reste une loi difficile à manipuler, et surtout elle entraîne une confusion », explique Aline Chassagne, ingénieure de recherche au CHU de Besançon.
18 demandes analysées Ancienne infirmière et aujourd’hui socioanthropologue, la jeune femme fait partie d’une équipe du Centre d’investigation clinique travaillant sous l’autorité du professeur Régis Aubry, sur les enjeux éthiques en situation de progrès médical. « Il s’agit d’un programme de recherche sur les demandes d’aide à mourir, par euthanasie ou suicide assisté (DESA), en Bourgogne Franche-Comté et en collaboration avec une équipe parisienne de la maison médicale Jeanne Garnier. »
Arrivés en soins palliatifs, « les gens s’imaginent que cela va être possible », souligne Mme Chassagne, qui rappelle que « ce n’est pas le cas » même si la sédation, qui consiste en « un accompagnement par un endormissement profond et continu », peut donner l’apparence d’un contournement. D’ailleurs, une proposition de loi « donnant le droit à une fin de vie libre et choisie », en avril dernier a été entravée par un déluge d’amendements et a entraîné une réaction très réticente de la société française de soins palliatifs.
Encore faut-il se poser la question de ce que recouvre cette demande d’aide à mourir de la part des patients. Menée depuis 2014, l’étude a permis de rencontrer des patients, mais aussi des proches et des soignants et d’analyser 18 de ces demandes en unités de soins palliatifs. « Il est difficile de rester sur une position binaire, pour ou contre, dans ce dossier. Nous avons essayé d’apporter des données empiriques pour favoriser le débat. » Et la première remarque apportée par la synthèse de cette étude DESA est que les patients interpellent les soignants des soins palliatifs, et les incitent à un changement des pratiques cliniques. » Ces demandes, principalement orales, expriment avant tout « un appel à la reconnaissance de la souffrance et la peur d’être submergé par elle. »
Un besoin « de pouvoir s’autoriser à en discuter librement » La poursuite des entretiens a également démontré le « flou » autour de ces notions de suicide assisté (la personne déclenche le dispositif) et d’euthanasie (c’est un tiers qui agit) et de différence de perception sur ce qu’est « une souffrance acceptable » et du manque de réponse à apporter de la part des soignants, à des patients en fin de vie, exprimant parfois une demande ambivalente se situant « dans un entre-deux où le patient est tiraillé entre le désir de mort et de vie. »
Ce qui ressort de l’analyse de ces entretiens « c’est peut-être le besoin de pouvoir s’autoriser à en discuter librement, ce qui a une fonction psychique importante et permet de lever la confusion, et de définir un futur un peu désirable », conclut Aline Chassagne. « Cette démarche amène à questionner les pratiques en soins palliatifs. » |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 16.11.21 14:09 | |
| Douarnenez. Soins palliatifs : « Nous sommes là dans le respect du temps qui reste » L’unité de soins palliatifs (USP) du sud Finistère, basée à Douarnenez, organise ce mercredi 13 octobre au soir une conférence en présence du Professeur Morel, chef de service au CHUR de Rennes et ancien président de la Société française de soins palliatifs.
L’unité de soins palliatifs du sud Finistère est basée à Douarnenez. (photo d’illustration). L’unité de soins palliatifs du sud Finistère est basée à Douarnenez. (photo d’illustration). | OUEST FRANCE Afficher le diaporama Ouest-France Marion GONIDEC. Publié le 12/10/2021 à 19h01 « Nous sommes là dans le respect du temps qui reste, dont personne ne peut présager. C’est-à-dire ni pour abréger la vie des gens, ni dans l’acharnement thérapeutique »... ...
????????? Mais QUI vous a demandé d'être là" ? Pas moi en tout cas... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 24.11.21 18:53 | |
| [size=36]Suicide assisté : que dit la loi en France ?Un premier cas de suicide assisté a été autorisé en Italie. Une pratique illégale dans la plupart des pays du monde, notamment en France, où certaines formes d'aides à mourir peuvent cependant être mises en place. Mais elles restent limitées.Par Ju. M. - Aujourd'hui à 10:12 - Temps de lecture : 4 min[/size] | Vu 280 foisUn cas de suicide assisté a été autorisé en Italie à la demande d'un chauffeur routier de 43 ans, tétraplégique à la suite d'un accident de la route lui ayant brisé la colonne vertébrale. Une grande première dans ce pays où cette pratique était jusqu'à présent passible d'une peine de 5 à 12 ans de prison. Il faut dire que très peu d’États, en Europe comme dans le monde, autorisent le suicide assisté. La France ne fait pas exception.
En France, un "droit à laisser mourir" restreint Le sujet avait pourtant fait débat dans l'Hexagone au printemps dernier. Alain Cocq, militant français de la fin de vie atteint d'une maladie incurable depuis 35 ans, avait réclamé à plusieurs reprises, notamment auprès d'Emmanuel Macron, d'avoir recours au suicide assisté. Le président de la République avait refusé, disant "ne pas pouvoir demander à quiconque d’outrepasser notre cadre légal actuel". Pour cause : dans l'Hexagone, le suicide assisté et l'euthanasie restent illégaux.
Suicide assisté et euthanasie : quelles différences ? Le suicide assisté, aussi appelé aide au suicide, consiste à fournir un environnement et des moyens à une personne pour qu'elle se suicide. Elle se distingue de l'euthanasie, qui consiste à déclencher la mort d'une personne qui ne peut pas elle-même se la donner. En France, seule "la sédation profonde et continue, pouvant aller jusqu'à la mort" est autorisée via la loi Claeys-Leonetti, adoptée en 2016. Elle stipule que "si le médecin constate qu'il ne peut soulager la souffrance d'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, qu'en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d'abréger sa vie, il doit en informer le malade". Mais ce "droit à laisser mourir" n'est accessible qu'aux personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme. Ainsi, les personnes touchées par des maladies incurables génératrices de souffrance ou encore les personnes en état végétatif ne sont pas concernées si leur vie n'est pas immédiatement menacée. La loi Claeys-Leonetti est ainsi perçue comme "une aberration française, que nul autre pays au monde n’a adoptée et qui laisse de côté les malades atteints de maladies neurodégénératives", estime l’Association au droit à mourir dans la dignité (ADMD) dans un communiqué publié en juin dernier. Elle dénonce aussi le fait que les Français souhaitant mettre fin à leurs jours soient contraints d'aller dans d'autres pays pour pouvoir mourir dignement. "La souffrance générée par la fin de vie s’ajoute l’exil, seulement accompagné de quelques proches", écrit l'ADMD.
Une proposition de loi soutenue mais suspendue Ce à quoi a été contraint Alain Cocq, qui a mis fin à ses jours en Suisse en juin dernier. Dans sa lettre de fin de vie, l'homme a dénoncé le "manque de courage politique" du gouvernement, accusé d’avoir refusé "de mettre à l’ordre du jour un projet de loi sur la fin de vie dans la dignité, que ce soit par le suicide assisté lorsque la personne est consciente, ou par euthanasie lorsque la personne n’est plus en capacité de s’exprimer". Des tentatives pour modifier la législation française ont pourtant eu lieu ces derniers mois. Le député de Charente-Martime Olivier Falorni a ainsi présenté au mois d'avril une proposition de loi pour une fin de vie "libre et éclairée". Ce texte établissait que "toute personne majeure et capable en phase avancée ou terminale, même en l’absence de diagnostic de décès à brève échéance, qui se trouve dans une situation d’affection (...) grave, incurable et/ou à tendance invalidante et incurable, lui infligeant une souffrance physique ou psychique qu’elle juge insupportable ou la plaçant dans un état de forte dépendance qu’elle estime incompatible avec sa dignité, peut bénéficier (...) d’une aide active à mourir". Malgré l'adoption de l'article 1 et le consensus d'une majorité de députée, la proposition de loi avait été suspendue. En cause : le dépôt de plusieurs milliers d'amendements au texte par une poignée de députés Les Républicains.
Les Français favorables à l'euthanasie et au suicide assisté Les Français sont pourtant en majorité favorables à une évolution des législations sur la fin de vie. [url=file:///C:/Users/MITOYEJL/AppData/Local/Temp/Sondage Ifop - avril 2021 - Le regard des Fran%C3%A7ais sur la fin de vie.pdf]Un sondage Ifop publié début avril[/url] montrait que 93% des Français sont en faveur de la légalisation de l'euthanasie et 89% sont favorables à la légalisation du suicide assisté. Près de 70% estiment par ailleurs que la loi actuelle sur la fin de vie doit être modifiée ou abrogée. Si elle n'avance pas sur la question, la France pourrait petit à petit se retrouver isolée de ses voisins sur le sujet. En Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg ou en Espagne, l'euthanasie active est autorisée (depuis 2002 chez les Belges). De son côté, la Suisse autorise le suicide assisté, et l'Autriche devrait bientôt adopter un projet de loi en ce sens. Dans d'autres pays, comme l'Italie récemment mais aussi l'Allemagne, le suicide assisté a été légalisé par décision de justice sans pour autant que cette pratique soit inscrite dans la loi. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 28.11.21 21:08 | |
| ma question est de savoir comment mourir en ne rentrant pas ds le jeu des uns et des autres car vous êtes tous des pourris et c'est préférable qu'il y ait du néant après la mort, histoire de vous supporter pour une durée limitée seulement... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 05.12.21 20:59 | |
| [size=38]Jean Leonetti , médecin jusqu'au bout de la vie[/size] Le maire d'Antibes et député UMP des Alpes-Maritimes, à l'origine de la loi 2005 sur la fin de vie, vient d'être chargé par Roselyne Bachelot de piloter les États généraux de la bioéthique. Une tâche à la mesure de ce médecin qui cultive le doute et l'écoute d'autrui
- La Croix
- le 19/12/2008 à 17:00
- Modifié le 19/12/2008 à 11:27
Antibes, début décembre. Dans le froid pluvieux de ce matin d'hiver, un homme parcourt sa ville. Inauguration d'un colloque sur l'adolescence, visite d'un chantier, hommage aux harkis, discours aux pompiers en colère, discours aux gendarmes mobiles, inquiets d'une méchante rumeur qui les donne partants. Jean Leonetti se prête de bonne grâce à l'exercice, serre des mains, donne l'accolade, embrasse - « On s'embrasse beaucoup dans le midi », dit-il. Le maire a un geste pour chacun. Il parle sans notes, comme toujours, et comme toujours trouve les mots justes. "Leonetti c'est un Monsieur" Proche sans être familier, l'homme impose une distance respectueuse. Un ancien combattant bardé de médailles s'approche de lui. « Leonetti , c'est un Monsieur », glisse-t-il. Un « Monsieur », oui, c'est le mot qui convient à cet homme élégant de 60 ans, qui se tient droit, et dont la pensée, toujours en mouvement, refuse le confort des idées toutes faites. Qui cultive l'humilité et le doute, là où tant d'autres ont « tout compris ». Qui sait s'adresser à tous, et créer un lien unique avec chacun. Et qui possède ce don rare : en l'écoutant, on se sent plus intelligent. Et l'on comprend, en le voyant ici, parmi les siens, pourquoi c'est à lui qu'a été confié, en 2003, le soin de réfléchir à une loi sur la fin de vie. "Je crois que j'ai de la chance d'avoir la famille que j'ai" Car pour parler de la mort, pour aborder ses rivages, faut-il déjà aimer la vie et les gens. Jean Leonetti ne s'en cache pas : « Je crois que j'ai de la chance, dit-il, d'avoir la famille que j'ai, d'être maire dans la plus belle ville du monde et député dans un pays comme la France. » D'origine corse, « Leo », comme l'appellent ses proches, est né le 9 juillet 1948 à Marseille de parents instituteurs. L'enfant va grandir entre un père aux convictions maçonniques et une mère catholique. « J'ai reçu une éducation laïque et croyante, et j'ai fait la synthèse », dit-il. La famille bouge - Marseille, Nice, puis Oran. De retour d'Algérie, son père embrasse le métier de journaliste pour Nice-Matin. Le soir, il parle de son métier. Le gamin écoute et comprend que « le vrai journaliste, c'est celui à qui on dit tout et qui fait le tri ». Il n'oubliera pas la leçon : devenu député, Jean Leonetti ne refusera jamais une interview. Pas plus qu'il ne cédera à la tentation, si bien partagée, de « tomber » sur la presse. Un jour où ses propos ont été déformés jusqu'au contresens : « Cela peut arriver, lâche-t-il. Je pense qu'il (NDLR : le journaliste) n'a pas compris ou que je me suis mal expliqué. » Un « Monsieur », en effet. "Soigner les autres, je pensais que c'était le plus beau métier du monde" Littéraire, Jean pense d'abord s'orienter vers la philosophie. Mais il trouve ces débats bien « virtuels ». Il lui faut du concret : être « ancré dans le réel » et « guidé par un idéal ». Son idéal, justement, s'incarne dans la figure sacerdotale du médecin confronté au sang, à la sueur et aux larmes. « C'était Afin que nul ne meure. Ce livre de Frank G. Slaughter m'avait marqué. Soigner les autres, je pensais que c'était le plus beau métier du monde. Je le pense encore. » En 1965, le jeune homme entre en faculté de médecine à Marseille. Là, il opte pour la neurologie. Mais il va très vite déchanter. Sa soif d'action se satisfait mal d'une médecine « fine, intellectuelle et contemplative », qui décrit parfaitement lésions et symptômes, mais n'a pas les moyens de guérir. « On ne savait pas soigner les hémorragies, les tumeurs, on regardait les Parkinson se dégrader Je suis passé en cardiologie et là, merveille : on ressuscitait les morts ! Ce qu'on faisait était efficace. » "Vous m'avez sauvé" Une médecine triomphante, qui progresse vite, et des patients qui disent : « Vous m'avez sauvé ! » Le jeune cardiologue est comblé. Ensuite, il n'y a plus qu'à suivre les rails. Promu chef de service à La Timone, Jean Leonetti va y exercer jusqu'en 1977 avant d'être nommé au centre hospitalier d'Antibes. De son union avec une femme médecin elle aussi, vont naître durant ces années-là ses deux enfants, un fils et une fille. Un jour, il s'occupe d'un patient qui va changer le cours de sa vie, Pierre Merli, maire (UDF) de la ville. Les deux hommes se lient d'amitié. En 1989, l'édile demande au médecin de venir sur sa liste. Refus du courtisé : « Je ne ferai jamais de politique. » « Je considérais cela comme une activité factice et médiocre », se souvient-il. En face, on insiste. Jean Leonetti cède. Il sera adjoint à la culture. L'humaniste en quête d'action découvre l'envie de porter des projets. D'un coup, l'horizon n'est plus le même. « Je retrouvais ma fibre littéraire. On montait des pièces de théâtre, je gérais le Musée Picasso, je rencontrais Arman, César » L'humaniste en quête d'action découvre l'envie de porter des projets. Puis le maire tombe malade. La guerre de succession éclate. On est en 1994. Les petits barons s'entre-déchirent. Jean Leonetti va tirer les marrons du feu. En 1995, il est candidat. Il a 47 ans, une bonne réputation, pas de concurrent sérieux dans l'équipe du maire sortant. Il sort en tête, avec un petit millier de voix d'avance. Pas de quoi pavoiser. Mais c'est quand même gagné. « Leo » est maire d'Antibes. Il y a eu la conjonction d'une ambition et d'une opportunité « Au début, se souvient-il, je pensais que la politique allait être une parenthèse dans ma vie. » Mais un autre homme va le révéler à lui-même. En 1997, à Paris, il s'entretient avec Jean-Claude Gaudin. « Si tu n'es pas député, renonce à faire quelque chose pour ta ville. Tu n'auras pas les moyens », lui lance le ministre de l'aménagement du territoire. L'élu antibois s'entête. Il n'ira pas aux législatives. Il ne veut pas lâcher l'hôpital. Mais Gaudin, finaud : « Je ne te demande pas ton avis. Tu as l'investiture. » Le sort en est jeté. En juin, Jean Leonetti est élu. « Je me suis longtemps dit que les choses s'étaient imposées à moi, analyse aujourd'hui le député. En fait, il y a eu la conjonction d'une ambition et d'une opportunité. » Une nouvelle période s'ouvre. À Paris, le médecin est vite repéré pour ses talents pacificateurs. « J'ai la réputation de chercher des solutions qui apaisent les conflits. » Il cite volontiers des passages de L'Art de la guerre, de Sun Tzu, philosophe chinois du VIe siècle avant J.-C. qu'il affectionne : « Les victoires les plus durables sont celles dans lesquelles on n'a pas humilié l'adversaire. » Commentaire : « Porter les dépouilles de son adversaire après une victoire, c'est un péché d'orgueil. C'est vulgaire. Il faut avoir la victoire modeste. Mon père me disait : "Il faut s'opposer aux forts et aider les faibles." » "Tu es très fort !" Leonetti applique cette maxime à la lettre. Mais là où il revendique une attitude « morale », les vieux briscards de l'Assemblée louent, à son grand dam, son habileté tactique. « Tu es très fort ! », lui lancent-ils encore récemment lorsque, au sortir d'une réunion du groupe UMP sur le travail du dimanche, le député résume une position commune qui n'existe pas. « Je sais bien ce qu'ils pensent. Mais non, je ne suis pas "malin" ou cynique. Mon attitude est basée sur le respect de l'autre et sur la conviction que l'on peut très souvent rapprocher les positions », se défend-il. Jean Leonetti n'y peut rien : il est modéré. « Ça énerve tout le monde et moi-même, ça m'énerve, dit-il drôlement, car qui dit modéré dit mou. Je ne suis pas comme ça : je suis un homme de compromis qui refuse les compromissions. Mais si on me pousse à envisager des choses contraires à mes idées, je suis intransigeant. » Lorsqu'il aborde la question de la fin de vie, le député sait jusqu'où il ne veut pas aller. Il y a une ligne jaune qu'il ne veut pas franchir, celle de l'euthanasie. "Une médecine qui sauve et une médecine qui console" Mais il ne sait pas encore où passe la frontière entre « faire mourir » et « laisser mourir ». Et se méfie des soins palliatifs, qui vont à rebours de ce pour quoi il s'est engagé en médecine. « Pour moi, il y avait une médecine qui sauve et une médecine qui console, antichambre de la mort. J'ai découvert les soins palliatifs lors de la mission. » C'est dire le chemin personnel parcouru par l'ancien cardiologue Durant plusieurs mois, sa pensée va évoluer, sa réflexion gagner en profondeur. « À chaque fois qu'il parle, il développe une idée différente, il nous fait découvrir quelque chose de nouveau », dit de lui Michèle Salamagne, une grande dame des soins palliatifs. S'il peut aller si loin, c'est que Jean Leonetti ne s'abrite pas derrière des positions dogmatiques. « On ne peut pas toujours se protéger », note-t-il. Lui aime avant tout comprendre, écouter et « décoder ». Capter, derrière le discours manifeste, la petite musique d'un discours latent. "Ce qui m'intéresse, c'est le moment où la cuirasse tombe" Saisir des instantanés de vérité. « Souvent, ce que les gens mettent en avant n'est pas le vrai problème. Ce qui m'intéresse, c'est le moment où la cuirasse tombe. » Ou celui où il la fait tomber lorsqu'il se livre à de quasi-interprétations, avec toute la violence inhérente à l'exercice. Comme lorsqu'il dit de Marie Humbert (1) : « Elle ne veut pas que la justice lui pardonne. Elle veut qu'une loi lui dise que ce qu'elle a fait est bien. » Analyste, Jean Leonetti l'est aussi de lui-même, envers qui il ne se montre pas plus complaisant. Avec une belle franchise, il avoue : « Dans mon action, je suis pollué par l'affectif. La critique violente, je ne supporte pas. Ça m'empêche de dormir. » À Antibes en tout cas, le maire peut dormir sur ses deux oreilles. Ses équipes lui sont entièrement acquises. « Parce que c'est lui. » Marianne GOMEZ (1) Marie Humbert avait été poursuivie pour « administration de substances toxiques » à son fils Vincent, entièrement paralysé, en 2003. Ella a bénéficié d'un non-lieu en 2006.Texte probablement inséré je ne sais où ici mais peu importe...Michel Aupetit a démissionné, il serait juste et bon que Jean Léonetti dégage lui aussi... "JUSTE et BON", je provoque comme d'habitude, çà sent la mort partout et on ne meurt pas.Admin "Une médecine qui sauve et une médecine qui console"çà alors ! je n'en reviens pas ! Jean Léonetti console ! je rêve ! c'est pas vrai ...et si ON NE demande PAS à être consolé... c'est permis, non ?Admin |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 09.12.21 19:15 | |
| Jean Léonetti et l'image corporelle il n'y a rien là-dessus à ce sujet sur le web |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 16.12.21 13:52 | |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 21.12.21 13:43 | |
| petit Léon petit con désolée dix-sept ans de règne Léonetti à propos de notre fin de vie 17 années..... c'est dingue |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 22.12.21 10:13 | |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 24.12.21 20:02 | |
| je suis consciente du problème, à savoir les antivax sont majoritairement pour " la Marche pour la Vie ", un truc catho complètement con... ... ils militent contre l'euthanasie passive ( contre le lobby Léonetti ) mais les victimes de la pédophilie seraient l'issue de secours... c'est bien mélangé, tout çà ! |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 28.12.21 20:30 | |
| il semblerait que j'ai un simple rhume ( ou autre chose ? ) se soigner soi-même ou mourir sans accompagnement voilà la dignité vraie et noble tout le reste étant de la pure connerie |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 30.12.21 16:26 | |
| puis-je rappeler que la loi Leonetti est une EUTHANASIE PASSIVE
Lorsqu'il aborde la question de la fin de vie, le député sait jusqu'où il ne veut pas aller. Il y a une ligne jaune qu'il ne veut pas franchir, celle de l'euthanasie. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 02.01.22 16:13 | |
| on pourrait poursuivre Jean Léonetti pour incitation au suicide biologique, essai de jeûne total ( hydratation + alimentation ) sur soi-même par curiosité ( ce que j'ai fait plusieurs fois d'ailleurs ). Je ne suis pas contre la loi Léonetti, par contre je dénonce la constipation intellectuelle ( manque de souplesse ) de J.L.
S.T.O.P.don.S.T.O.P.vote.S.T.O.P. |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 07.01.22 10:06 | |
| CITATION SUR LE WEB ( le 17 novembre 2014 ) "Jean Leonetti avait prévenu : si le suicide assisté avait été dans le périmètre de la mission, il ne l’aurait pas acceptée. Pour Alain Claeys, les choses n’étaient pas si claires et il confiait récemment ne pas avoir d’idée arrêtée sur la question ".
Commentaire : QUI s'acharne ? |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 07.01.22 10:22 | |
| Monsieur Jean Léonetti ah ah ah oh oh oh hi hi hi il paraît qu'il est gentil ce sont des personnes âgées qui m'ont dit cela par tel, à propos d'une affaire très compliquée, tout le monde est au courant ... |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 07.01.22 10:35 | |
| les antivax ne seraient pas les antivaccins... ??? on s'y perd... je m'éloigne... c'est sûr et certain ... STOPdonSTOPvoteSTOP impossible de revenir en arrière... lassitude ils l'ont cherché quelque part merci au covid ! |
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| Sujet: Re: Jean Léonetti, fin de vie 08.01.22 12:28 | |
| emmerder Jean Léonetti mais s'il joue lui aussi ? emmerder tout le monde parce que je m'emmerde ? emmerder sans être emmerdée "Merde et merde et merde " ! çà me rappelle quelqu'un, le P. B.Goudey qui avait cité la phrase çi-dessus dite par G.G. que je ne connaîssais pas du tout à l'époque ? le web, une sorte de thérapie ? écrire les mots et les maux ? |
| | | | Jean Léonetti, fin de vie | |
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