La fin de vie selon Admin

Imaginons que l'euthanasie et le suicide assisté soient légalisés, pourrais-je vivre ?
Selon l' ADMD, oui.
Mais les pressions fusent de partout, je le vois dans certains regards, l'actualité en France nous oblige à nous méfier, alors quand je passe forcément... je ne vais quand même pas rester cloîtrée chez moi. Déjà que je ne fréquente plus du tout les églises à cause du militantisme pro-vie..
ON m'a déjà fait la remarque, si je vivais dans une institution, je serais plus heureuse ( et surtout je  ne dérangerais pas " ON " , en espérant que  " ON " passe par ici ). Mais si j'étais dans une institution, on me soignerait malgré moi ou on ferait pression pour que je me soigne car je rapporterai du fric à l'institution... ...Si j'étais dans une institution, je serais centenaire alors je suis très bien là où je suis  car j'ai la possibilité de m'endormir avec l'idée que je ne me réveillerai plus du tout. Personne pour m'emmerder ! ( et je n'emmerde personne ! ).
Je le sais, je dérange, car il y a quelques personnes " normales " qui ne sont même pas capables de faire le tiers de tout ce que j'ai fait...Juste un sixième ?

ah oui, j'ai écrit ce sujet ! je ne sais plus ce que j'y ai mis, pas le temps de me relire ! en fait, j'espérais que F.H. fasse un petit tour par ici et j'espérais convaincre les lecteurs. Je rêve ? oui ! personne ne peut s'empêcher de rêver, c'est une fonction vitale. Qui suis-je ? Rien, je ne suis rien par rapport à d'autres sur internet et mon style est loin d'être agréable à lire. Ma pensée a forcément évolué et je ne me suis toujours pas jetée par la fenêtre bien que cette idée me fasse vivre ! ce n'est pas par manque de moyens ou de temps.... j'essaie de comprendre les contradictions des uns et des autres ainsi que les miennes. Si j'étais sur un site bien connu, je me ferais taper dessus parce que je reprends un vieux sujet délaissé depuis longtemps. Mais je règne ici en maîtresse, et c'est un vrai plaisir, faire ce que je veux, tout en sachant que c'est une fausse réalité, impossible de faire ce que je peux, je dépens de tout comme tout le monde. Chacun dépend de son histoire, de son environnement, des autres. La liberté est juste un mot de plus, un vain mot. Ici, en janvier 2011, j'ai écouté une de mes pulsions, j'ai ouvert ce site et à ma grande surprise j'y suis restée...