HANDICHRIST Pêle-mêle, tout et rien |
|
| Buzyn,Véran,fin de vie | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.06.20 18:28 | |
| svp ou vous m'aidez à me supprimer ou vous me remettez le Myolastan et le Décontractyl en vente libre ou avec ordonnance merci ( je sais bien que c'est impossible, donc je vous le demande ) ( de toute façon, si je suis foutue, vous l'êtes aussi, alors puisque nous sommes tous et toutes foutus..) ( désolée, pas ma faute si "votre covid 19 " ne m'a pas tuée ) ( pourquoi je résiste ? je résiste pour attaquer ... ) |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.06.20 18:38 | |
| pourquoi je vous demande de m'aider à me supprimer alors que je peux très bien le faire moi-même ? eh bien pour vous emmerder ! oeil pour oeil, dent pour dent Olivier Véran, votre look et votre voix !!! à part çà, vous êtes aussi con que les autres, la loi du 22 avril 2005 interdit la réanimation obstinément déraisonnable, 1ère loi de Jean Léonetti qui ne sait pas faire autre chose sinon se répéter |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 08.07.20 22:04 | |
| Industrie pharmaceutique française et européenne... Remise sur le marché du Myolastan et du Décontractyl en cps ( gouttes et poudre, j'ai du mal à m'en servir cf le cannabis ) mais je rêve, d'où mon abstention électorale... c'est quoi, le Ségur de la Santé ? si on augmente le salaire du personnel soignant, ils s'acharneront davantage sur les patients ? Le palliativisme existant déjà, les euthanasies clandestines aussi, il faudrait au plus vite légaliser la sédation profonde explicitement létale. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 22.07.20 15:34 | |
| |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 22.07.20 15:49 | |
| LA FRANCE ou l'Europe peut re-fabriquer le Myolastan et le Décontractyl Le ministre de la santé est un neurologue Myolastan et Décontractyl, médicaments thérapeutiques ou palliatifs ???
tout est absurde... ... ... on vote, on donne et on subit ! si je fais une obsession à propos de ces produits, cela signifie qu'ils réduisaient mes tremblements et mes douleurs, le Baclofène ne suffisant pas supprimer des médicaments, c'est de la saloperie conne ! |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 22.07.20 16:00 | |
| s'il y a des gens qui veulent faire des pétitions pour la remise sur le marché du Myolastan et du Décontractyl SANS METTRE DE LIEN AVEC ICI je ne fais plus rien sur internet sauf ici les pétitions et leurs conséquences, je connaîs ( on est surveillé et suivi par l'hébergeur de la pétition, c'est fou...) je vivais avec le Myolastan, je vivais avec le Décontractyl ( sans besoin d'augmenter les doses ). |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 25.07.20 11:43 | |
| C’est quoi, la future loi « Grand âge et autonomie » ?24 juillet 2020 | Adrien Renaud
Longtemps attendue, maintes fois repoussée, la loi « Grand âge et autonomie » est annoncée pour la fin 2020 ou le début 2021. Un texte qui soulève des espoirs dans le secteur des Ehpad ou du domicile… même si celui-ci est habitué aux déceptions.
Le ministre de la Santé Olivier Véran l’a annoncé le 16 juillet dernier chez nos confrères de France Inter : elle est « presque prête », et elle « sera sans doute la grande réforme sociale de cette fin de quinquennat très attendue par des millions et des millions de familles ». Qui ça ? La loi « Grand âge et autonomie », qui aurait dû voir le jour en 2019, et que des embouteillages législatifs combinés aux grèves contre la réforme des retraites et à la crise du coronavirus avaient failli remettre aux calendes grecques.
Pour l’instant, c’est surtout le volet financier qui a fait parler de lui. Celle-ci prévoit en effet (en complément de la loi sur la dette sociale et l’autonomie votée mi-juin) la création d’une cinquième branche de la Sécurité sociale sensée, aux côtés de celles dédiées à la maladie, à la famille, à la retraite et aux accidents du travail-maladies professionnelles, gérer le risque de perte d’autonomie. L’objectif : concentrer (et augmenter) les financements dédiés à l’autonomie, actuellement éparpillés entre diverses administrations : Assurance maladie, départements, etc. De l’avis de nombreux observateurs, l’argent sera, comme toujours, le nerf de la guerre. « Si cette loi vient sans un financement vraiment copieux et solide, elle ne pourra pas apporter grand-chose », prévient ainsi Michèle Delaunay, ancienne ministre chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie sous François Hollande.
Un nouveau modèle pour les Ehpads Mais le budget ne fera pas tout pas tout. « C’est une loi qui aura un volet financier, mais qui ne sera pas réduite à ce volet financier, promet Monique Iborra, députée LREM de Haute-Garonne et autrice de nombreux rapports sur la question. Elle touchera également la gouvernance, l’organisation des services à domicile, la réorganisation des Ehpads… » L’un des chantiers que couvrira la loi, pour cette parlementaire qui entend bien participer à son élaboration, est la création d’un « nouveau modèle pour les Ehpads ». « On ne peut plus continuer comme ça », juge-t-elle, appelant au « décloisonnement des établissements » : plus d’ouverture sur l’extérieur, plus de lien avec le domicile, plus de collaborations avec l’hôpital… [/size
Mieux vaut prévenir que guérir
Autre chantier important, selon Monique Iborra : le développement de modèles intermédiaires entre l’Ehpad et le domicile. « Cela dépend du niveau d’autonomie des personnes, mais il existe des habitats partagés, les résidences autonomie, qu’il faut identifier sur un territoire », affirme-t-elle. La députée entend également faire pression pour que la loi comporte un important volet consacré à la prévention de la dépendance. « Vieillir, pourquoi pas, mais vieillir en bonne santé, c’est mieux que vieillir dépendant », résume-t-elle. La loi devra donc selon Monique Iborra « identifier tous ceux qui font déjà de la prévention, mais par petits bouts et de manière illisible »
Des attentes immenses
Reste que pour satisfaire les attentes du secteur de l’autonomie, la future loi devra frapper très fort : les besoins sont en effets criants, et la crise du coronavirus que le pays vient de traverser n’a fait que les accentuer. Pour Michèle Delaunay, par exemple, le fait que la mortalité du covid ait été concentrée sur les résidents des Ehpads pose avec encore plus d’acuité la question de la fin de vie en Ehpad. « Je pense que la question de la médicalisation des Ehpad est essentielle », juge l’ancienne ministre qui appelle notamment à un renforcement du rôle des équipes mobiles de gériatrie et de soins palliatifs dans les établissements. Autre chantier prioritaire pour Michèle Delaunay : la valorisation des professionnels de l’autonomie. « On a vu leur incroyable dévouement des équipes, ils ont surtravaillé, certains se sont confinés avec les résidents… », rappelle-t-elle. Et pourtant, la reconnaissance salariale des équipes est largement insuffisante, et leurs possibilités d’évolution professionnelle sont trop limitées, juge Michèle Delaunay. « Cela doit être un secteur d’excellence », estime-t-elle. La future loi doit donc selon elle frapper fort, et frapper vite. Car la responsable socialise le rappelle : « c’est toujours le sujet le plus urgent, car les bénéficiaires ne peuvent pas attendre 20 ans ». |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 27.07.20 22:15 | |
| PMA POUR TOUTES: "PAS UN TEXTE EN CATIMINI", INSISTE OLIVIER VÉRAN C.Bo. avec AFP Le 27/07/2020 à 21:16
Ah, la PMA ! çà fait sortir de leurs gonds ces gentils écolo catho ! c'est pour bientôt la S.A. ( qui rime avec PMA ) afin qu'on soit tout simplement libéré... de cette société de merde, de cet internet de merde et de ces paroisses de merde.. Pour que Michèle Delaunay, ministre sous le Gouvernement Hollande, prenne la parole aujourd'hui à propos des Ehpad, et non pas notre neurologue Ministre de la Santé, çà prouve qu'on est ds la merde ! |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 07.08.20 16:02 | |
| Covid-19 : le ministre de la Santé appelle à proscrire les ventilateurs Yahoo Actualités Johanna AmselemYahoo Actualités7 août 2020 Monsieur le Ministre, Vous baignez dans l'indignité ignoble.. car c'est impossible pour les citoyens que nous sommes de gérer à la fois le covid 19 et cette canicule. Le plus sage aurait été de vous taire comme vous le faîtes si bien à propos de la fin de vie. Admin.https://www.handichrist.net/t1175-janvier-2011-fin-de-vie-echec-d-une-loi |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 23.08.20 12:22 | |
| Moi Admin je demande à Olivier Véran la refonte des DA ds le cadre du covid 19 la remise sur le marché du Myolastan et du Décontractyl sous ordonnance une légalisation du Suicide Assisté
|
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 03.09.20 11:14 | |
| Fin de vie : Les associations toujours en attente d’un plan pour les soins palliatifs SOINS Alors qu’un homme, atteint d’une maladie orpheline, compte diffuser en direct sur Facebook son agonie si l’euthanasie active n’est pas légalisée, les associations attendent avec impatience le plan pour les soins palliatifs
Oihana Gabriel Publié le 03/09/20 à 07h55 — Mis à jour le 03/09/20 à 07h55
Alain Cocq souffre d'une maladie orpheline et décidé d'arrêter de s'alimenter et de s'hydrater à partir de vendredi et de filmer son agonie. Les associations de patients et soignants attendent depuis des mois un nouveau pour les soins palliatifs. Alain Cocq souffre d'une maladie orpheline et décidé d'arrêter de s'alimenter et de s'hydrater à partir de vendredi et de filmer son agonie. Les associations de patients et soignants attendent depuis des mois un nouveau pour les soins palliatifs. — AFP Le dernier plan pour les soins palliatifs s’est achevé en 2018, et son bilan a été critiqué par un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales. En février 2020, l’ancienne ministre de la Santé avait promis que des travaux seraient lancés pour accoucher d’un nouveau plan. Mais le coronavirus a éclipsé ce dossier. Les associations sont toujours en attente d’annonces, de moyens et de discussions pour améliorer la fin de vie en France, alors qu’une nouvelle affaire risque de susciter à nouveau le débat sur l’euthanasie et les soins palliatifs. Il n’y a pas que le Covid-19 qui tue aujourd’hui en France. Mais cette épidémie a jeté une lumière crue sur la fin de vie. Certains sont décédés seuls, dans des Ehpad ou chez eux, sans avoir leurs proches à leurs côtés ou un soignant pour les soulager. Paradoxalement, la crise du coronavirus a donc souligné l’importance de réfléchir à l’accompagnement des mourants… tout en retardant le plan pour les soins palliatifs.
Ce dernier devait en effet être annoncé pour la fin du premier semestre 2020. Mais, comme pour beaucoup de dossiers sanitaires, le Covid-19 est venu bousculer les travaux et le calendrier du plan, qui reste toujours en chantier. Jusqu’à quand ? Les associations montent au créneau, alors que le congrès de la société des soins palliatifs se tient cette semaine et qu’une nouvelle affaire médiatique remet ce dossier sur le devant de la scène.
« On ne s’intéresse à la fin de vie que lorsqu’il y a des affaires » « On meurt mal en France ». Ce message répété inlassablement est celui de Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) et élu parisien. Un message à nouveau incarné par un patient, Alain Cocq, atteint d'une maladie orpheline, qui a décidé de s’arrêter de manger et boire et de filmer sa propre mort à partir de vendredi, en Facebook live. Une façon radicale d’interpeller le président et son gouvernement. Si ce patient va jusqu’au bout, le public risque d’assister en direct à son agonie. Après Vincent Lambert, la romancière Anne Bert partie pour être euthanasiée en Belgique, cette nouvelle tragédie remet en lumière le débat sur l’euthanasie. « On ne s’intéresse à la fin de vie que lorsqu’il y a des affaires », regrette Jean-Luc Romero.
Pourtant, depuis 2016, un nouveau droit a été introduit par la loi Claeys-Leonetti : le patient peut demander la sédation profonde et continue. Mais uniquement dans certaines conditions : « lorsque le patient, atteint d’une affection grave et incurable et dont le pronostic vital est engagé à court terme, présente une souffrance réfractaire aux traitements ».
« On souhaite une loi complète, qui permette à chacun de choisir sa fin, pour que les 3 ou 4 % de patients qui ne peuvent pas être soulagés puissent choisir le moment et la manière de mourir, reprend Jean-Luc Romero. Aujourd’hui, nos voisins européens ont avancé sur la question : les Pays-Bas, la Belgique, la Suisse ont légalisé l’euthanasie ou le suicide assisté, le Portugal a prévu de le faire tout comme l’Espagne. La France, pays des Lumières, se retrouve bien seule… »
Le dernier plan s’est achevé en 2018… Au-delà de l’euthanasie ou la sédation profonde, qui ne représentent qu’une partie du sujet, les associations attendent impatiemment que les choses bougent plus globalement sur la question des soins palliatifs. Un nouveau plan est attendu depuis des mois. En effet, le dernier plan courait de 2015 à 2018. Depuis, silence radio. « On envoie des lettres depuis deux ans et on n’a même pas d’accusé de réception », s’agace le président de l’ADMD. Or, en février 2020, un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) dressait un bilan particulièrement mitigé sur ce plan. « Ses effets concrets sont restés modestes pour les professionnels et les patients, car l’accès aux soins palliatifs et le nombre de personnes formés demeurent faibles, même s’il existe sur le terrain de nombreux projets, au-delà du plan lui-même, qui concourent à mobiliser les acteurs au service d’un meilleur accompagnement en fin de vie », critique ainsi l’Igas.
Dès février, Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, avait promis un plan rapide. Mais c’était avant le coronavirus. Et la crise sanitaire n’a pas amélioré les choses sur le terrain. « Dans les unités de soins palliatifs, il doit y avoir 2,5 postes de soignants pour 10 lits. Or, il y en un seul par unité, souligne Jean-Luc Romero. Les chambres sont ridiculement petites, alors qu’il faudrait de la place pour les familles. On met plein d’argent au début de la vie, mais à la fin, on s’en fout ! Résultat : seulement 20 % des patients qui ont besoin d’aller en soins palliatifs accèdent à une unité. »
Qu’attendent les associations de ce plan ? Une situation inégalitaire qui pousse les associations à monter au créneau. Le dernier plan prévoyait un peu moins de 200 millions d’euros sur trois ans. « J’attends avec impatience la somme annoncée, d’autant qu’on a perdu deux ans et que 2020 est presque terminée, donc ce ne sera pas avant 2021, prévient Jean-Luc Romero. Arrêtons avec les petits plans sans ambition, on souhaite un plan sur cinq ans qui tende à un accès universel aux soins palliatifs. Aujourd’hui, il n’y a pas de solution pour une partie des mourants qui en ont besoin », tranche l’élu parisien.
Le ton est moins vindicatif, mais l’ambition semblable du côté de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). « Il reste beaucoup à faire pour que les soins palliatifs soient disponibles partout en France, reconnaît son président, Olivier Mermet. Avec trois points de vigilance : un accès précoce, partout et pour tous. Les soins palliatifs sont trop souvent réservés à la toute fin de vie, alors qu’il y a beaucoup à faire pour prévenir les souffrances des patients, dès la découverte d’une maladie mortelle. »
Information et formation Mais pour pouvoir y accéder, encore faudrait-il que les Français connaissent ces soins particuliers. Or, dans une société où la mort reste taboue, la fin de vie plutôt invisible, tous les Français ne savent pas forcément à quoi correspondent les soins palliatifs. Un accompagnement qui doit procurer un soulagement global : physique, psychique et spirituel au malade, mais également à ses proches.
Ce travail d’information des soignants et des patients a été amorcé ces dernières années, notamment en encourageant les Français à discuter et à écrire leurs directives anticipées, mais il doit être poursuivi. « On remarque que ces directives anticipées doivent gagner en pertinence, en précision », explique Olivier Mermet, généraliste. Qui assure avoir un dialogue régulier avec les autorités, et que la SFAP a publié des recommandations qu’elle aimerait voir dans ce prochain plan.
Un besoin en médicaments Pour améliorer de façon pragmatique la fin de vie, deux chantiers semblent également prioritaires. Celui de l’accès aux médicaments qui permettent de soulager la douleur. « On a vu une tension pour l’accès au midazolam [une molécule aux propriétés sédatives], rappelle le président de la SFAP. Le ministère avait parlé en février de créer un parcours sécurisé pour cette molécule, mais il n’a pas été précisé depuis. » Et avec le Covid-19, les équipes de réanimation en ont eu particulièrement besoin…
Parallèlement, Olivier Mermet souhaite que le plan « améliore la formation de tous les soignants pour savoir comment utiliser ces produits. » Mais également qu’il valorise l’écoute : « les professionnels n’ont pas toujours le temps et l’habitude de se poser pour écouter, sans que ça se termine par une prescription », admet le médecin. Qui n’oublie pas les bénévoles, acteurs essentiels, dont l’intervention doit être favorisée. Enfin, la société formule le vœu de voir apparaître des infirmières de pratique avancée (les IPA) spécialisées dans les soins palliatifs.
Selon nos informations, le ministère de la Santé n’a pas prévu de dégainer un plan rapidement. Et les associations, patients et soignants, devront encore faire preuve de patience… |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 16.09.20 12:34 | |
| GPA, PMA, fin de vie : "Il n'y a pas de tabou inscrit dans le marbre", selon Olivier Veran 19h16, le 03 janvier 2018 , modifié à 20h40, le 03 janvier 2018 AA Les états généraux de la bioéthique s'ouvriront le 18 janvier prochain. LIONEL BONAVENTURE / AFP Partagez sur : Olivier Veran, député LREM et rapporteur général de la Commission des Affaires sociales, souhaite un "débat apaisé" sur ces questions lors des états généraux de la bioéthique, à partir du 18 janvier. INTERVIEW Les Français sont prêts à accepter de nouvelles avancées sur la PMA, la GPA et l'euthanasie. C'est l'enseignement du grand sondage publié par le journal La Croix mercredi. "Il n'y a pas de tabou inscrit dans le marbre", souligne sur Europe 1 Olivier Veran, député LREM de l’Isère et rapporteur général de la Commission des Affaires sociales. "Pas surpris" de l'évolution de l'opinion. Selon l'enquête de l'Ifop, six Français sur dix se disent ainsi favorables à la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de femmes homosexuelles, 64% au recours à une mère porteuse ou GPA (gestation pour autrui) et 89% à une évolution de la loi sur la fin de vie. S'il ne se dit pas surpris de l'évolution de l'opinion sur ces sujets sensibles, Olivier Veran l'est en revanche de "la capacité des gens à répondre oui ou non à des questions qui sont extrêmement complexes. La question de la GPA par exemple n'appelle pas nécessairement une réponse binaire", observe-t-il. ENTENDU SUR EUROPE1 : Il y a une appétence très forte des Français pour pouvoir discuter de ces sujets-là "J'espère qu'on aura un débat apaisé". D'où l'intérêt, selon lui, d'avoir un débat sur ces questions, alors que s'ouvriront le 18 janvier les états généraux de la bioéthique. "J'espère qu'on aura un débat apaisé", souhaite l'élu, médecin de formation. "Il y a une appétence très forte des Français pour pouvoir discuter de ces sujets-là. Il n'y a pas de tabou inscrit dans le marbre", assure-t-il. "Débattre n'est pas légiférer". "Par contre, il y a un projet présidentiel : Emmanuel Macron s'est dit pendant la campagne opposé à toute forme de GPA et très favorable à la PMA pour tous les couples de femmes et pour les femmes célibataires. Quant à la loi sur la fin de vie, je pense que pour un sujet de cette importance-là, si initiative il devait y avoir, elle viendrait du gouvernement ou du président de la République", continue Olivier Veran, qui précise cependant que "débattre n'est pas légiférer". |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 17.09.20 10:21 | |
| Face au courroux du chef de l’État, Olivier Véran sous pression Le président s’est emporté vendredi devant son ministre de la Santé. Certains interprètent l’annulation du point presse de ce dernier, la semaine dernière, comme une sanction.
Par Mathilde Siraud Publié hier à 20:17, mis à jour hier à 21:28 Vendredi, le président de la République a clairement exprimé son mécontentement à l’égard d’Olivier Véran. Vendredi, le président de la République a clairement exprimé son mécontentement à l’égard d’Olivier Véran. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro Quand Emmanuel Macron n’est pas satisfait, il le fait savoir. Ce jour-là, c’est le ministre de la Santé, Olivier Véran, qui en a fait les frais. Vendredi, lors du Conseil de défense consacré à l’évolution de la situation sanitaire, le président de la République a clairement exprimé son mécontentement à l’égard de son ministre. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: ADMIN EST FOLLE FURAX ! 17.09.20 10:30 | |
| 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016
soins palliatifs blablabla noble et digne ??? Léonetti 22 avril 2005
OU
1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
euthanasie suicide assisté blablabla noble et digne ??? Léonetti 22 avril 2005 |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Admin est folle furax ( suite ) 17.09.20 10:38 | |
| https://www.handichrist.net/t1175-janvier-2011-fin-de-vie-echec-d-une-loi"toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander dans des conditions précises et strictes à bénéficier d'une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité" (proposition 21 du candidat Hollande ). |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Admin est folle furax.. ... 17.09.20 10:45 | |
| année 2016 année 2017 année 2018 année 2019 année 2020
soins palliatifs ? euthanasie ? suicide assisté ?
?????????????? ????????? ????? |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 23.09.20 11:40 | |
| "La vieillesse et la fin de vie font peur" : avec le Covid-19, les Ehpad peinent plus que jamais à recruter Bas salaires, surcharge de travail, manque de reconnaissance… L'épidémie de coronavirus a mis en lumière le quotidien du personnel des Ehpad. Le problème est cependant plus ancien, comme en attestent des témoignages reçus dans le cadre de notre opération #PrioritéEmploi.
Une enseignante d\'art-thérapie tient la main d\'une résidente de la \"Maison Saint-Jean Hélios\", un Ehpad situé à Nice (Alpes-Maritimes), le 4 août 2020.Une enseignante d'art-thérapie tient la main d'une résidente de la "Maison Saint-Jean Hélios", un Ehpad situé à Nice (Alpes-Maritimes), le 4 août 2020. (VALERY HACHE / AFP) avatar Mathilde Goupil France Télévisions Mis à jour le 23/09/2020 | 07:08 publié le 23/09/2020 | 07:08
Neuf morts. Les décès de résidents malades du Covid-19 se succèdent depuis le début du mois, à l'Ehpad Gloriande, à Sévérac d'Aveyron. Désemparée, la directrice de l'établissement a lancé un SOS, dimanche 13 septembre, sur BFMTV. "Nous avons cruellement besoin de soignants. Nous avons aujourd'hui la moitié de l'équipe aide-soignante qui est malade", s'est émue Florence Vajda-Léoni, appelant les volontaires à rejoindre ses rangs, même provisoirement.
Elle n'est pas la seule à manquer de bras. Alors que la France traverse un rebond de l'épidémie de coronavirus, "on constate ces dernières semaines des arrêts maladie et des démissions en série dans certains établissements", s'alarme auprès de franceinfo Annabelle Vêques, directrice de la Fédération nationale des associations de directeurs d'établissements et services pour personnes âgées (Fnadepa).
"Les équipes, épuisées par la première vague, sont en congé, ce qui renforce les tensions habituelles pour trouver du personnel", complète Jean-Baptiste Rouffet, directeur de l'Ehpad "Les trois sources", à Loperhet (Finistère). Pour renforcer son équipe, ce dernier a tout tenté, du bouche-à-oreille aux agences d'intérim — une pratique courante dans le secteur, pour les remplacements au pied levé. En désespoir de cause, il a finalement écrit à France Télévisions, dans le cadre de l'opération #PrioritéEmploi, pour signaler qu'il recherchait deux aides-soignants en CDI.
Le Covid-19 a renforcé un problème existant L'épidémie de coronavirus a mis en lumière la question des sous-effectifs en Ehpad, se réjouissent les professionnels de santé interrogés par franceinfo. Mais tous s'accordent pour dire que le problème est plus ancien. En 2015, près d'un Ehpad privé sur deux (49%) déclarait des difficultés de recrutement, contre plus d'un sur trois (38%) dans le public, indiquait juin 2018 une étude de la Drees, le département statistique du ministère de la Santé. Un établissement sur dix disposait d'un poste de médecin coordinateur (10%) ou d'aide-soignante (9%) non-pourvu depuis au moins six mois, selon cette même étude. Et 4% des Ehpad proposaient au moins un poste d'infirmier. Les Ehpad privés, ceux situés dans des communes isolées ou à Paris, et ceux de plus de 60 places avaient le plus de difficultés à recruter, notait encore la Drees.
Ce manque de personnel est d'autant plus alarmant que l'âge moyen et le niveau de dépendance des résidents a crû au fil des ans, souligne le rapport. En outre, le nombre de ces établissements et donc le besoin de personnel sont amenés à augmenter, avec le vieillissement de la population. Le nombre de personnes en perte d'autonomie pourrait passer "de 1,387 million en 2020 à 1,479 million en 2025", anticipe un rapport sur l'attractivité des métiers du grand âge (fichier PDF) de l'ancienne ministre Myriam El Khomri, remis en octobre 2019.
Faibles salaires et conditions de travail difficiles Alors que plus de 7% de la population française active est au chômage, comment expliquer que les Ehpad (et leur pendant chez l'habitant, les aides à domicile) peinent à attirer des candidats ? "La vieillesse et la fin de vie font peur, peu de gens ont envie de travailler avec le grand âge", avance Hella Kherief, aide-soignante et autrice de Le scandale des Ehpad (2019), dans lequel elle dénonce le manque de moyens et la maltraitance au sein de ces établissements.
Surtout, "le salaire est extrêmement bas comparé à celui d'une aide-soignante dans un service hospitalier" (aux alentours du smic, soit en général quelques centaines d'euros en moins), et "la charge de travail est excessive", estime celle qui travaille désormais au sein d'un service de réanimation dans un hôpital marseillais. "Vous portez des personnes âgées, qui sont souvent en surpoids, pendant 12 heures de suite. Les cadences sont infernales, on est fatigué avant même de commencer", détaille Hella Kherief. Pour preuve : "la fréquence et la gravité des accidents du travail et des maladies professionnelles" en Ehpad "sont pratiquement le triple de celles observées" pour l'ensemble des métiers, soulignait en mars 2019 un rapport de Dominique Libault (fichier PDF), président du Haut-Conseil au financement de la protection sociale.
Chaque matin, on se dit : 'J'espère qu'il ne va manquer personne aujourd'hui.' Hella Kherief, aide-soignante à franceinfo
L'aide-soignante estime également que les perspectives d'évolution de carrière sont trop limitées. "En Ehpad, il n'y a pas d'apprentissage médical pour les aides-soignantes, contrairement à l'hôpital, car on (...) n'a pas le temps de s'intéresser à tout ça", regrette celle qui espère devenir un jour infirmière.
"Le manque de reconnaissance n'est pas que financier, il est aussi social et lié au regard que porte la société sur la vieillesse, qui est très dévalorisant", souligne aussi Mélanie*, psychologue clinicienne. "Quand je dis que je travaille en Ehpad, on me répond : 'Ah bon ? Ça ne doit pas être intéressant', car on s'imagine que mes patients sont des légumes", se désole celle qui s'est décidée, après la première vague de l'épidémie, à quitter les Ehpad, où elle exerçait depuis 14 ans.
Enfin, "la dégradation des conditions de travail pour les métiers du grand âge (...) s'explique également par les pratiques d’organisation et de management" de certains cadres, étrille le rapport Libault. "La méthode au fouet ne peut pas marcher : c'est des boulots tellement difficiles, vous ne venez pas pour vous faire engueuler", confirme Florian*, cadre de santé d'un Ehpad public de la capitale, qui assure "ne jamais crier" sur ses salariés et n'avoir jamais eu "de problème de recrutement en 12 ans", grâce au bouche-à-oreille assuré par ses équipes.
"On a pris dix ans de retard !" Face au manque de personnel durant l'épidémie, les directeurs d'Ehpad ont improvisé : salariés rappelés sur leurs jours de repos, personnel administratif prenant en charge des tâches au contact des résidents… Certains ont même fait appel à des demandeurs d'emploi volontaires, raconte Ouest France (article abonnés)… Les professionnels saluent tous la "solidarité" des équipes, pour continuer à servir au mieux les résidents en période de crise, mais réclament plus que jamais des mesures pérennes.
"Ça fait des années qu'on sait que les Ehpad ont un problème d'attractivité et qu'on nous promet la réforme du grand âge. On a pris dix ans de retard !" se désole Annabelle Vêques, alors que la Fnadepa a lancé cet hiver une campagne d'interpellation des pouvoirs publics baptisée "Stop au blabla, faites notre loi". Les professionnels, comme les personnalités missionnées par le gouvernement pour travailler sur le sujet, sont au diapason. Parmi les mesures réclamées : revaloriser les salaires pour attirer plus de candidats, augmenter les financements des Ehpad afin de créer des postes, former plus de professionnels, harmoniser les conventions collectives du secteur, rendre les formations gratuites, y inclure l'enseignement de la gérontologie…
Le projet de loi grand âge examiné en 2021 Le gouvernement assure avoir pris la mesure du chantier nécessaire, avec la nomination cet été de Brigitte Bourguignon en tant que ministre déléguée chargée de l'Autonomie. Cette dernière lancera mi-octobre le "Laroque de l'Autonomie", une consultation de plusieurs mois avec les acteurs du secteur, dont le nom fait référence au résistant et haut-fonctionnaire Pierre Laroque, considéré comme le "père" de la Sécurité sociale. Maintes fois reporté, le projet de loi grand âge sera lui "adopté en première lecture avant l'été 2021", promet l'entourage de la ministre.
Parmi les pistes déjà envisagées : le relèvement du taux d'encadrement en Ehpad de "25% à 30%" ces prochaines années, un "plan d'attractivité" pour changer l'image des métiers liés au grand âge, via une grande campagne de communication télévisée et des partenariats avec l'Education nationale et Pôle emploi, l'installation dans les Ehpad d'équipements technologiques (comme des rails de transfert) permettant de limiter la pénibilité du personnel, plus de place laissée à l'enseignement en alternance… Côté rémunération, l'entourage de Brigitte Bourguignon évoque "un effort pour le personnel à domicile" et rappelle que le Premier ministre a déjà annoncé, en clôture du Ségur de la santé, la revalorisation des salaires à hauteur de 183 euros nets par mois pour les salariés non médicaux des Ehpad.
De quoi insuffler de l'espoir aux professionnels interrogés par franceinfo, qui attendent néanmoins de voir ce que contiendra la loi tant attendue. D'ici là, ils comptent sur un effet positif du Covid-19. "La crise a mis en valeur ces métiers-là", souligne Maud Zaoui, responsable des ressources humaines intérimaires chez Adecco Medical, l'une des principales agences d'emploi du secteur. "J'espère que leur image a évolué et va servir à susciter des vocations."
*Le prénom a été modifié. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 24.10.20 20:10 | |
| PUBLIÉ LE 24/10/2020 À 13:32 Les mesures restrictives liées à l'épidémie de coronavirus pourraient s'étendre dans le temps. Le ministre de la Santé Olivier Véran a défendu, ce samedi 23 octobre, devant l'Assemblée nationale, la prolongation jusqu'au 16 février de l'état d'urgence sanitaire pour faire face à une "période qui sera longue et difficile".
Et la fin de vie ? rien, le néant, zéro ... ce serait pourtant si simple d'aider ceux et celles qui ne veulent pas de réanimation imposée car quoiqu'il arrive ils vont mourir de toute façon Liberté ? Fraternité ? S.T.O.P.don.S.T.O.P.vote.S.T.O.P. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 28.10.20 14:42 | |
| Le gouvernement prépare un nouveau plan de développement des soins palliatifs pour début 2021.
À l’occasion de la Journée mondiale des soins palliatifs, le ministre des Solidarités et de la Santé a annoncé, le 12 octobre 2020, le lancement des travaux préparatoires à l’élaboration du prochain plan national de développement des soins palliatifs et d’accompagnement à la fin de vie. Le dernier plan national pour garantir la mise en œuvre effective des droits de la fin de vie s’est achevé en 2019. « Les actions menées ont permis de structurer, graduer et densifier l’offre de soins palliative », précise le ministère. Toutefois, malgré les avancées réalisées, l’accès aux dispositifs de la fin de vie « souffre encore d’une mise en œuvre trop contrastée, non uniforme sur les territoires », qui a notamment été soulignée par l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) dans son évaluation récente du Plan national 2015-2018. Olivier Véran a donc décidé d’initier l’élaboration d’un futur plan national et de sa déclinaison à l’échelle des territoires, au plus près des besoins.
Sur la base des préconisations de l’IGAS, des premiers enseignements de la pandémie de Covid-19 et des réflexions menées par l’ensemble des acteurs de la prise en charge et de l’accompagnement, ces travaux vont se décliner selon trois axes :
Renforcer l’acculturation aux droits de la fin de vie et diffuser, parmi les professionnels et intervenants, la culture palliative. Chacun doit connaître ses droits en matière de fin de vie et s’impliquer dans leur mise en œuvre, en respectant l’esprit de la loi et les impératifs, notamment, de collégialité et de concertation. Diffuser les bonnes pratiques, garantir un haut niveau d’expertise en soins palliatifs et son accessibilité pour les acteurs, en s’appuyant sur la formation et les travaux de recherche. Il s’agit de garantir l’adéquation de l’offre de soins palliatifs aux besoins et que les situations de fin de vie soient anticipées pour que chacun puisse être pris en charge précocement, sur tous les territoires, par des professionnels formés, des médecins et paramédicaux appuyés si besoin par des équipes expertes. Déployer les prises en charge de proximité en renforçant les coordinations, en structurant des modalités d’intégration précoce des soins palliatifs et de l’accompagnement de la fin de vie. Il s’agit de permettre à chacun d’être soigné sur son lieu de vie, selon ses souhaits, tout en tenant compte de ses besoins dans le cadre d’une prise en charge graduée et coordonnée. Pour coordonner ces travaux préparatoires pour l’élaboration d’une feuille de route d’ici la fin du premier trimestre 2021, le ministre des Solidarités et de la Santé doit nommer prochainement deux personnalités qualifiées. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 01.11.20 11:14 | |
| Covid-19 : Noël «ne sera pas une fête normale», prévient Véran Le ministre de la Santé a toutefois promis que le gouvernement « cherchait à créer les conditions pour vivre un Noël le moins contraignant possible ». Olivier Véran le 29 octobre. Olivier Véran le 29 octobre. REUTERS/Ian Langsdon Par R.L. avec AFP Le 1 novembre 2020 à 08h53 Chacun s'en doutait déjà, mais Oliver Véran a mis des mots sur cette crainte : Noël « ne sera pas une fête normale » cette année. Et « il est difficile d'envisager de grandes soirées » pour le réveillon du 31 décembre, a insisté le ministre de la Santé dans une interview au Journal du Dimanche.
Olivier Véran a toutefois tenté de donner un espoir aux Français, comme l'avait fait Emmanuel Macron lors de sa dernière allocution. « Nous cherchons à créer les conditions pour vivre un Noël le moins contraignant possible », a-t-il assuré. « Notre but est que la pression épidémique retombe pour qu'on puisse faire des courses à temps, se préparer dans la joie, pour que soient créées les conditions permettant aux familles de se retrouver ».
LIRE AUSSI > Taux de mortalité, immunité… 7 idées reçues sur le Covid passées au crible
« Si le freinage est réussi » grâce à un confinement respecté, « le nombre de contaminations pourrait baisser dans les prochains jours, entraînant, dans deux semaines une baisse des nouveaux cas graves », a ajouté Olivier Véran.
Même message de Boris Johnson « Je demande un très gros effort, tenons-le avec beaucoup de rigueur pendant 15 jours, avait imploré Emmanuel Macron mercredi dernier. Si d'ici 15 jours, nous maîtrisons mieux à la situation, nous pourrons alors réévaluer les choses et espérer ouvrir certains commerces, en particulier dans cette période si importante avant les fêtes de Noël ».
Samedi soir, lors de son intervention pour annoncer leur reconfinement aux Anglais, le Premier ministre britannique a eu le même message. « Noël sera différent cette année, peut-être différent », a reconnu Boris Johnson, tout en faisant part de son espoir et sa conviction de voir les familles réunies pour les fêtes de fin d'année.
Juste avant l'entrée en vigueur du confinement en France, de nombreuses personnes s'étaient ruées dans les magasins pour acheter décorations de Noël et cadeaux par crainte d'une fermeture longue des magasins.
« Eviter une troisième vague » Dans son interview, Olivier Véran précise que devraient tomber « dans deux ou trois jours les premiers éléments permettant d'évaluer l'impact des mesures de couvre-feu », mis en place mi-octobre, avant de laisser la place au nouveau confinement depuis vendredi.
Interrogé sur d'éventuelles vagues successives, le ministre indique que l'objectif « est de casser la deuxième vague le plus tôt possible pour qu'elle ne fasse pas trop de victimes ». Il faudra ensuite « maintenir un niveau de protection de la population suffisant pour éviter une troisième vague en attendant le vaccin ». A ce propos, il se dit « modérément optimiste » sur notre capacité à avoir un vaccin dans les prochains mois |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 01.11.20 11:29 | |
| Doit-on les croire ? Peut-on les croire ? S'ils sont ds la vérité, mais qu'est-ce qu'ils attendent pour refaire maintenant et entièrement une loi sur notre fin de vie ? on peut penser qu'ils paniquent si l'Europe disparaît... pour plusieurs raisons ? ou alors ils nous poussent au suicide juste avant une légalisation du S.A. et de l'euthanasie ? ( ainsi, un nettoyage socio-économique sera fait ? ) ??? ??? ??? ??? ??? parler de 3e vague, il faut le faire tout de même ! le vaccin qu'on nous prépare risque d'être un petit poison supplémentaire... ... on ira ainsi jusqu'en 2022 bon et juste calcul ... ... |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 06.11.20 17:08 | |
| Le ministère de la santé lance la préparation du prochain plan de développement des soins palliatifs Publié le : 14 octobre 2020 A l’occasion de la journée mondiale des soins palliatifs, le ministère de la santé a annoncé le lancement de travaux préparatoires à un nouveau plan national de développement des soins palliatifs. Deux « personnalités » seront nommées prochainement pour coordonner ces travaux. Ce plan est attendu depuis 2019, le précédent remontant à 2015-2018. Olivier Véran, ministre de la Santé, souhaite décliner trois axes :
« Renforcer l’acculturation aux droits de la fin de vie et diffuser, parmi les professionnels et intervenants, la culture palliative», ce qui signifie notamment faire respecter « l’esprit de la loi » en la matière. « Diffuser les bonnes pratiques, garantir un haut niveau d’expertise en soins palliatifs et son accessibilité pour les acteurs», avec l‘objectif d’ « anticiper » les situations de fin de vie. « Déployer les prises en charge de proximité en renforçant les coordinations, en structurant des modalités d’intégration précoce des soins palliatifs et de l’accompagnement de la fin de vie », afin de permettre « à chacun d’être soigné sur son lieu de vie, selon ses souhaits ». Pour la Société Française d’Accompagnement et de soins palliatifs (SFAP), « les temps bouleversés d’urgence sanitaire et économique que nous venons de vivre ont rendu d’autant plus nécessaire ce plan de développement des soins palliatifs ». Elle se félicite de ce prochain plan et « ne doute pas de son caractère ambitieux », face à l’ « urgence de poursuivre et d’accroître l’effort collectif » : « Trop de patients qui en auraient besoin n’ont pas accès à une équipe de soins palliatifs. La génération du baby-boom vieillit et les besoins sont immenses ».
Sources: CP du Ministère de la santé et des solidarités (13/10/2020); SFAP (13/10/2020); Hospimedia, Jérome Robillard (13/10/2020) |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 06.11.20 21:09 | |
| Les patients hors Covid-19 doivent continuer à se soigner 20 Avr 2020 Pourquoi la téléconsultation medecins Image de couverture de: Les patients hors Covid-19 doivent continuer à se soigner Avec la crise du Coronavirus, des médecins de tous les territoires évoquent la baisse de fréquentation de leurs cabinets. La peur de la contamination éloigne certains patients de leur parcours de soins, qu’il soit assuré par des généralistes ou des spécialistes. Pourtant, il est essentiel d’assurer la continuité des soins. Le gouvernement insiste sur le fait que les patients hors Covid-19 doivent continuer à se soigner. Un impact notoire sur la fréquentation des cabinets médicaux Les patients doivent continuer à se soigner mais les salles d'attente sont videsBien qu’elle ne soit encore quantifiable, la baisse de fréquentation des cabinets est une réalité. Olivier Véran, Ministre de la Santé a pourtant appelé : « chaque Français qui nécessite des soins essentiels en dehors du coronavirus à contacter son médecin […] pour ne pas retarder indûment une prise en charge dont le report pourrait lui causer du tort”. (Source : Le Parisien). Les informations restent extrêmement variables d’un territoire à l’autre et reflètent la présence du coronavirus. Dans les zones les plus touchées par la pandémie, les médecins constatent une forte baisse des consultations hors Covid-19. D’aucuns affirment qu’un tiers des patients aurait renoncé à leur suivi médical classique pour continuer à se soigner. Dans certaines zones médicales habituellement tendues, cette proportion s’élèverait à la moitié des patients. Ce contexte inédit impacte l’activité des praticiens, qui peuvent bénéficier d’aides de l’Etat, annoncées le 2 avril par le Ministre de la Santé, Olivier Véran. Indemnités journalières spécifiques, reports d’échéances sociales et fiscales, éligibilité aux modalités d’activité partielle pour les salariés et déploiement d’un fonds de solidarité, toutes les mesures sont détaillées sur : https://bit.ly/2z6yyMdLa continuité des soins des patients est assurée La crise sanitaire actuelle ne doit pourtant éloigner les patients de leur parcours de soins. Les personnes souffrant d’affections longue durée, les enfants bénéficiant d’un suivi pédiatrique régulier, les patients ayant l’obligation d’effectuer les rappels de vaccination, doivent consulter leur médecin traitant ou contacter un médecin de leur CPTS, le cas échéant. Certes, l’urgence concerne la gestion du coronavirus. Cependant, les soins dédiés aux autres pathologies ne peuvent être reportés ou annulés, sans présenter un risque pour les patients. Le corps médical s’adapte, en appliquant les gestes barrières et une organisation stricte. Port du masque et de gants, distanciation sociale, espacement des consultations, de nombreuses mesures sont appliquées pour maintenir les rendez-vous en présentiel en toute sécurité. Afin d’accompagner au mieux leurs patients à continuer de se soigner, beaucoup de médecins traitants proposent également la téléconsultation. Nicolas Revel, Directeur général de l’Assurance Maladie, vient ainsi de révéler des chiffres records : “Un million de téléconsulations ont été réalisées en une semaine, [la première d’avril, NDLR], 85 % entre un médecin traitant et son patient. Elles sont donc faites dans le parcours de soins.” (Source : Le Quotidien du Médecin). Grâce aux alternatives développées par le secteur médical, le suivi des patients est garanti en cette période. Il ne doit souffrir d’aucun relâchement, pour éviter une autre forme de crise sanitaire post-Covid-19. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 06.11.20 21:25 | |
| Nous sommes tout simplement à bout, on n'en peut plus, c'est bêtement concret. Alors on espère crever. Donc on se soigne un minimum comme on peut pour essayer d'alléger les symptômes les plus gênants. Sans emmerder les urgences. La téléconsultation, on ne sait pas comment faire. Etre ausculté par un visage masqué et des mains gantées, on n'en a pas envie. Alors on contourne en attendant la mort. On fait ce qu'on peut comme on veut. Il y aura une autre vague, celle des patients chroniques. Il faudrait porter plainte contre ceux et celles qui s'occupent de la fin de vie à la française... |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 08.11.20 20:18 | |
| confinement, déconfinement, reconfinement ... do ré mi fa sol la si do do si la sol fa mi ré do |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 09.11.20 16:22 | |
| Covid-19 : trois signes qui laissent penser qu'un Noël confiné n'est pas exclu Difficile de se projeter sur les fêtes de fin d'année : les ministres éludent la question du prolongement du confinement. Un point d'étape doit être fait le 12 novembre. franceinfo France Télévisions Publié le 09/11/2020 11:39 Mis à jour le 09/11/2020 11:39 MAIS COMMENT POUVONS-NOUS REAGIR ? on se fout de notre gueule ( qui est masquée de toute façon ). Noël 2020 confiné ? Pâques 2021 confiné... et nous marcherons ainsi jusqu'en... 2022. Pourquoi donc ? A la Sédation Profonde Continue Jusqu'Au Décès de Jean Léonetti, La République En Marche a ajouté la Sédation Socio-Psycho-Economique ! |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 19.11.20 19:48 | |
| Coronavirus : Véran s’inquiète de la santé mentale des Français
TROP TARD, vous avez voulu ne pas tuer nos corps, mais vous avez assassiné nos âmes et nos esprits " ce qui est fait ne peut pas être défait " Shakespeare super pour un neurologue ??? ??? ??? j'ignorais qu'en neuro on pouvait être aussi con qu'en cancéro |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 26.02.21 11:03 | |
| "Olivier Véran a changé d’avis sur plusieurs sujets entre le moment où il était député et maintenant qu’il est devenu ministre. Il est sommé par le Premier ministre de se soumettre." Jean-Louis Touraine, co-rapporteur LREM de la loi Bioéthique |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.03.21 11:51 | |
| Fin de vie : Olivier Véran annonce "un nouveau plan national de développement des soins palliatifs" Le ministre de la Santé s'est exprimé, jeudi, avant l'examen par le Sénat d'une proposition de loi PS visant à reconnaître le droit à bénéficier, sous conditions, de l'aide active à mourir.
Article rédigé par
franceinfo avec AFP France Télévisions Publié le 11/03/2021 11:27 Temps de lecture : 1 min. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, lors d'une conférence de presse, à Paris, le 4 mars 2021. (ALAIN JOCARD / AFP) Le ministre de la Santé, Olivier Véran, lors d'une conférence de presse, à Paris, le 4 mars 2021. (ALAIN JOCARD / AFP) De nouveaux protocoles pour accompagner les personnes en fin de vie. Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé, jeudi 11 mars, au Sénat le "lancement à compter du mois d'avril d'un nouveau plan national de développement des soins palliatifs et d'accompagnement de la fin de vie".
Le ministre s'exprimait avant l'examen par la chambre haute d'une proposition de loi PS visant à reconnaître le droit à bénéficier, sous conditions, de l'aide active à mourir (assistance médicale au suicide et l'euthanasie).
Onze militants de l'association Ultime Liberté ont été mis en examen pour acquisition, détention, importation en contrebande, ou encore propagande en faveur d'un puissant anesthésiant permettant de donner la mort. Ces 11 personnes sont âgés de 70 à 95 ans. Parmi eux, d'anciens professeurs, d'anciens médecins ou d'anciens professionnels libéraux. Ils assument leurs actes mais refusent d'être considérés comme des délinquants. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.03.21 11:59 | |
| Nouveau plan national des soins palliatifs ? Pour quand, la remise sur le marché du Myolastan, du Décontractyl ( sous ordonnance ? ) et de toutes les autres molécules supprimées ces dernières années et réclamées par des patients qui ne sont plus soulagés? ( je n'avais pas besoin d'augmenter les doses avec ces deux medocs. Si quelques patients les utilisaient pour se droguer, eh bien ce n'est pas mon problème ! Le Décontractyl a existé sous forme de pommade et de comprimés pendant un demi-siècle, preuve que c'était une bonne molécule...Vous auriez dû le garder en attendant au moins la mise sur le marché du cannabis thérapeutique...Vous vous foutez de nos souffrances ). |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.03.21 12:53 | |
| je sais bien qu'il y a une confusion entre les soins palliatifs au cours de la vie et les soins palliatifs en fin de vie mais je fais exprès de jouer avec cela ( cela calmerait mes nerfs ? ) par ailleurs il y a en général accoutumance avec les medocs du SNC ( système nerveux central ). je me demande si les toubibs ne sont pas ds l'obligation de réduire le dosage de ces medocs chez certains patients ds le but de faire bien fonctionner la Sédation Profonde Continue Jusqu'au Décès éventuelle ( et décès éventuel aussi ? ) ce qui signifierait le choix inévitable au niveau des soins entre le palliatif au cours de la vie et le palliatif en fin de vie ? |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 23.03.21 16:06 | |
| Pour le Ministère de la Santé : Liberté, Fraternité, Egalité Liberté, Egalité, Fraternité Fraternité ? Liberté ? Egalité ? Fraternité ? Egalité ? Liberté ? Egalité ? Liberté ? Fraternité ? Egalité ? Fraternité ? Liberté ? |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 08.04.21 21:53 | |
| Ils vont essayer de se démerder pour que le Midazolam soit accessible aux médecins généralistes et ainsi on pourra mourir chez soi ??? mais je ne veux pas qu'on fouille ds mes affaires en ma présence tant que mon coeur ne s'est pas arrêté rien à foutre d'une mort apaisée, douce et lente, je veux une mort rapide c'est ma volonté, c'est tout et puis je ne veux surtout pas ces gens cathos palliatifs chez moi surtout à mes derniers instants terrestres je suis devenue anti-cléricale, je l'étais déjà avant je crois que je voudrais des gens spécialisés en neurologie.... mon cas étant complexe |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 26.04.21 12:56 | |
| Fin de vie : un nouveau plan national de développement des soins palliatifs sera lancé en avril Le copilotage de ce nouveau plan de développement des soins palliatifs, triennal, sera confié aux docteurs Olivier Mermet et Bruno Richard, a annoncé le ministre de la Santé en préambule à l'examen par le Sénat d'une proposition de loi PS visant à reconnaître le droit à bénéficier, sous conditions, de l'aide active à mourir. Olivier Véran. Olivier Véran. (ELIOT BLONDET-POOL/SIPA) Par Les Echos Publié le 11 mars 2021 à 12:37 S'exprimant en préambule à l'examen par le Sénat d' une proposition de loi PS visant à reconnaître le droit à bénéficier, sous conditions, de l'aide active à mourir (assistance médicale au suicide et l'euthanasie), Olivier Véran a annoncé ce jeudi le « lancement à compter du mois d'avril d'un nouveau plan national de développement des soins palliatifs et d'accompagnement de la fin de vie ». « Je ne crois pas que le moment choisi pour modifier le régime juridique de la fin de vie soit le moment opportun », a déclaré le ministre de la Santé, soulignant que « nous sommes encore aujourd'hui en plein combat face à la crise sanitaire » du Covid-19 .
Le copilotage de ce nouveau plan de développement des soins palliatifs, triennal, sera confié aux docteurs Olivier Mermet et Bruno Richard, a précisé le ministre. « Il s'agira du 5e plan national, le précédant s'étant interrompu en 2019. » Il prévoira « un développement de la prise en charge en ville », qui « sera très vite facilitée par la mise à disposition du (médicament) midazolam dès la fin de l'année 2021 », a annoncé Olivier Véran.
Améliorer la formation « Mieux faire connaître la loi actuelle aux professionnels et accompagnants sera un fil conducteur de ce plan qui sera largement détaillé au cours des prochaines assises de la Société française d'accompagnement de soins palliatifs du mois de mai prochain », a-t-il précisé. « Nous inscrirons dans ce plan la nécessité d'améliorer la formation initiale et continue de l'ensemble des professionnels de santé sur la thématique de la fin de vie », a-t-il poursuivi.
Evoquant les moyens, le ministre a indiqué que « le prochain budget de la Sécurité sociale devra intégrer des mesures nouvelles pour augmenter la dotation socle des soins palliatifs ».
Evaluer d'abord la loi Claeys-Leonetti Des parlementaires ont poussé le gouvernement à se positionner sur l'euthanasie, avec plusieurs initiatives en faveur d'une légalisation, dont cette proposition de loi PS débattue ce jeudi au Sénat. Dans l'entourage du Premier ministre, Jean Castex, on explique qu'il « y a la volonté d'évaluer d'abord la loi Claeys-Leonetti », relative à la fin de vie, qui date de février 2016.
|
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 11.05.21 13:52 | |
|
| Alain Claeys est un pauvre connard 2016 loi de fevrier 2016 année 2017 année 2018 année 2019 année 2020 année 2021 Alain Claeys, l'homme Léonetti de gauche... voilà l'indignité ignoble proclamée par le président précédent et confirmée par le président actuel, le roi Macron |
|
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 12.05.21 15:39 | |
| année 2004 année 2005 année 2006 année 2007 année 2008 année 2009 année 2010 année 2011 année 2012 année 2013 année 2014 année 2015 année 2016 année 2017 année 2018 année 2019 année 2020 année 2021 |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 03.06.21 11:21 | |
| Panne des numéros d'urgence : un mort et deux AVC en France, faute de pouvoir joindre les secours Le centre d'appels des pompiers de Haute-Garonne à Colomiers.Le centre d'appels des pompiers de Haute-Garonne à Colomiers. Photo DDM archives, Nathalie Saint-Affre Société, Téléphonie - Internet, France - Monde Publié le 03/06/2021 à 08:44 , mis à jour à 10:53
ah ! merci au FAI Orange ! Léonetti ce n'est pas fini, les dcd du covid-19 sont morts et sont enterrés de façon indigne et ignoble, et les citoyens ont été ds l'impossibilité de joindre les n° de tel d'urgence pendant une soirée ( dommage qu'il n'y ait pas eu d'attentat ce soir-là ! ). Voilà où on en est sous le règne du roi Macron Reçevez ma merde, ma pisse et mon vomi Admin. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 15.06.21 22:04 | |
| citation La loi Claeys-Leonetti du 2 février 2016, qui réglemente en effet la fin de vie, est de ce point de vue ambiguë, d’autant que les recommandations de la Haute Autorité de santé pour l’appliquer sont restrictives, parlant d’un décès devant survenir dans les soixante-douze heures, ce qui n’est pas le cas ici (au sujet d'Alain Cocq).
commentaire faudrait savoir...Vincent Lambert a agonisé plus longtemps. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 16.06.21 10:40 | |
| HONTE au Ministère de la Santéon ne peut même pas crever chez soil'hôpital, c'est de la merdeAdmin[center] « Il a pris un cachet, cela a été très rapide » : Alain Cocq est mort dans un suicide assisté en Suisse
[size=18] [size=18]Par sudouest.fr avec AFP Publié le 15/06/2021 à 15h33 Mis à jour le 15/06/2021 à 18h29
Âgé de 58 ans, il était atteint d’une maladie incurable. Il avait fait deux grèves des soins et de la faim en 2020. Dans une lettre posthume, il dénonce le « manque de courage » de la classe politique Militant de la fin de vie digne, Alain Cocq, 58 ans, est décédé mardi dans un suicide assisté en Suisse, geste ultime mettant fin à des décennies de souffrance qu’il a accompagné d’un dernier message fustigeant « le manque de courage » de la classe politique. « Je tiens à vous informer, par la présente, de mon décès dans la dignité, dans le cadre d’une procédure de suicide assisté en Suisse (mort naturelle) », écrit Alain Cocq dans une lettre ouverte adressée au président de la République, au gouvernement et aux parlementaires et diffusée par ses soutiens.
[/size][/size] « C’est chose faite »[size=18][size=18] [size=18] Alain Cocq a été diagnostiqué à 23 ans d’une maladie aussi incurable que douloureuse, qui l’a conduit à vivre pendant 35 ans « en soins palliatifs », selon ses termes. Clamant son droit à ne plus souffrir, le Dijonnais avait tenté à deux reprises courant 2020 de se laisser mourir, en faisant la grève des soins et de la faim, mais il avait dû renoncer face à des douleurs insoutenables.
[/size][/size][/size] - Citation :
- C’est une très bonne chose qu’il soit parti comme il le souhaitait
[size=18][size=18]
Il avait alors annoncé son intention de se rendre en Suisse, où le suicide assisté est légal. Une association, dont il avait tu le nom, lui avait offert de financer les « 8 000 à 10 000 euros » nécessaires. « Il a pris un cachet. Cela a été très rapide. C’est chose faite et c’est une très bonne chose qu’il soit parti comme il le souhaitait », a déclaré à l’AFP François Lambert, un de ses proches qui est aussi avocat et neveu de Vincent Lambert, autre cause célèbre des partisans de l’euthanasie.
[/size][/size] « Lettre d’outre-tombe »[size=18][size=18]
Dans sa « lettre d’outre-tombe », Alain Cocq prend d’abord à partie le président de la République Emmanuel Macron qui avait refusé en août de donner l’autorisation au corps médical de lui prescrire, à titre compassionnel, du pentobarbital, un barbiturique puissant qui lui aurait permis de « partir en paix ». SUR LE MEME SUJET
[/size][/size] Fin de vie : le militant Alain Cocq, atteint d'une maladie incurable, veut se laisser mourir pour de bon[size=18][size=18]
Alain Cocq avait tenté de se laisser mourir le 5 septembre dernier, en retransmettant en direct son agonie sur Facebook, qui avait bloqué la vidéo. Sa tentative avait ensuite échoué, en raison d'un quiproquo avec le Samu.
Le malade y dénonce ensuite le « manque de courage politique » du gouvernement, accusé d’avoir refusé « de mettre à l’ordre du jour un projet de loi sur la fin de vie dans la dignité, que ce soit par le suicide assisté lorsque la personne est consciente, ou par euthanasie lorsque la personne n’est plus en capacité de s’exprimer ». Malgré un large appui, une proposition de loi ouvrant un droit à « une fin de vie libre et choisie » du député Olivier Falorni (groupe Libertés et territoires) n’avait pu être adoptée dans un temps contraint en avril face à des milliers d’amendements déposés par quelques élus LR.
[/size][/size] « Archaïsme du Sénat »[size=18][size=18]
« Je tiens à féliciter Mesdames et Messieurs les députés qui ont eu le courage et la conscience de voter pour l’article 1 du projet de loi de M. Falorni », ajoute Alain Cocq, avant de « fustiger l’archaïsme du Sénat » qui a rejeté « un projet de loi similaire ». Malgré ses souffrances, Alain Cocq ne pouvait bénéficier de la loi en vigueur, dite Claeys-Leonetti, adoptée en 2016 : cette dernière autorise « la sédation profonde et continue, pouvant aller jusqu’à la mort » mais uniquement pour des personnes dont le pronostic vital est engagé « à court terme ». SUR LE MEME SUJET
[/size][/size] Fin de vie : Alain Cocq cesse pour la deuxième fois sa grève des soins et de la faim[size=18][size=18]
[size=15]L'homme de 57 ans, atteint d'une maladie incurable, avait déclaré pour la seconde fois vouloir se laisser mourir, mais il a une nouvelle fois cessé sa grève des soins après des "douleurs insupportables"
« La loi Leonetti de 2016 est une aberration française, que nul autre pays au monde n’a adoptée et qui laisse de côté les malades atteints de maladies neurodégénératives », estime dans un communiqué l’Association au droit à mourir dans la dignité (ADMD).
[/size][/size][/size] - Citation :
- Ces morts à l’étranger sont indignes de notre pays.
[size=18][size=18]
« Ces morts à l’étranger sont indignes de notre pays. Car à la souffrance générée par la fin de vie s’ajoute l’exil, seulement accompagné de quelques proches », ajoute l’ADMD. M. Cocq interpelle également les candidats à l’élection présidentielle 2022 et leur demande s’ils sont « prêts à soutenir un projet de loi relatif à la fin de vie dans la dignité dans lequel serait défini tant le suicide assisté que l’euthanasie ». « Quant à moi, d’où je serai, je ne manquerai pas de vous observer tous », lance Alain Cocq, très politique jusqu’à ses derniers instants. SUR LE MEME SUJET
[/size][/size] “On meurt mal en France” : deux propositions de loi sur l’euthanasie déposées à l’Assemblée[size=18][size=18]
Des parlementaires veulent faire évoluer la loi sur la fin de vie en France. Propositions de loi, cadre actuel... Voici ce qu’il faut savoir
[/size][/size] Les précédents[size=18][size=18]
Ces dernières années, des affaires ont fait évoluer la législation sur la fin de vie. On citera les cas de Vincent Humbert (décédé en 2003 après que sa mère lui a injecté des barbituriques) ; la comédienne Maïa Simon (suicide assisté en 2007 en Suisse) ; Chantal Sébire (suicidée en 2008) ; Vincent Lambert (arrêt des traitements en 2019 après une longue saga judiciaire), la romancière Anne Bert (euthanasiée à sa demande en Belgique2017) et en mars dernier, l’ancienne secrétaire d’État aux personnes âgées, la socialiste Paulette Guinchard (suicide assisté en Suisse).[/size][/size] |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 17.06.21 13:25 | |
| Mr le Ministre de la Santé menace de rendre la vaccination anti-covid.19 obligatoire alors qu'il NE fait RIEN pour notre fin de vie, ni plan triennal de soins palliatifs ni nouveau droit de mourir dignement... NE votez PLUS. Les élus sont de la merde donc les électeurs sont merdiques. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 22.06.21 15:34 | |
| je pratique le chantage ! Mr le Ministre de la Santé : vous voulez que je me vaccine contre le covid ? eh bien donnez-moi l'assurance d'une aide active à mourir quand j'aurai choisi le lieu et la date ! ou alors démissionnez de votre poste ! non mais ! |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 29.06.21 13:14 | |
| [size=39]VACCIN ANTI-COVID: LE GOUVERNEMENT ENVISAGE UNE 3E DOSE À LA RENTRÉE POUR LES PERSONNES ÂGÉES[/size] A.S. Le 29/06/2021 à 9:24Face à la menace du variant Delta, plus contagieux et qui continue sa progression en France, une troisième dose de vaccin pourrait être injectée aux personnes âgées, a indiqué le ministre de la Santé ce mardi matin. Alors que la progression du très contagieux variant Delta en France inquiète puisque celui-ci représente désormais 20% des nouveaux diagnostics, le gouvernement n'écarte pas une troisième injection chez les personnes âgées pour les protéger au mieux, a indiqué Olivier Véran sur France Info ce mardi matin. [/size] "Quand vous avez 90-95 ans, votre système immunitaire répond moins bien"
Les [size=15]vaccins protègent largement contre les formes graves de la maladie liées à ce nouveau variant mais, comme le souligne le ministre de la Santé, "les plus âgés, bien que vaccinés, sont susceptibles de présenter une forme grave". "Avec un risque fortement réduit par le vaccin, mais quand vous avez 90-95 ans, votre système immunitaire répond moins bien", a précisé Olivier Véran.
[/size] - Citation :
- "C'est pour ça qu'on envisage de faire un troisième rappel de vaccination à la rentrée pour les personnes âgées dans les Ehpad, peut-être faudra-t-il le faire pour booster leur immunité", a-t-il détaillé.
"Uniquement les personnes âgées"
Quant à savoir qui pourrait être concerné par cette troisième dose de vaccin, Olivier Véran indique que la mesure viserait "uniquement les personnes âgées a priori, c'est ce que nous disent les scientifiques que je consulte beaucoup en ce moment". "Ce que l'on sait pour l'instant, si je prends l'exemple d'un quadragénaire vacciné avec deux doses, si cette personne devait être contaminée par le Covid-19, déjà le risque est beaucoup plus faible, et si cette personne attrape le Covid-19, le risque de faire une forme symptomatique et encore plus une forme grave est extrêmement marginal", a expliqué le ministre pour illustrer son propos. "Le Covid peut passer par vous mais il ne vous terrasse pas, vous n'avez pas de séquelles et d'hospitalisation". SUR LE MÊME SUJET
Ces derniers jours, le gouvernement et les autorités sanitaires ont insisté sur l'importance d'être complètement vacciné pour faire barrage au variant Delta du coronavirus, plus transmissible que les autres souches. |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 09.07.21 13:17 | |
| Olivier Véran décline le plan des Socialistes sur la fin de vie Publié le 12/03/2021 à 06:25 | Mis à jour le 12/03/2021 à 08:20 SANTÉ FRANCE L’ancien maire de Poitiers Alain Claeys est l’auteur de la loi de 2016 sur la fin de vie. L’ancien maire de Poitiers Alain Claeys est l’auteur de la loi de 2016 sur la fin de vie. (Photo archives NR) Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé jeudi au Sénat le lancement d’un plan national pour la fin de vie qui prévoit peu d’évolutions par rapport à la législation actuelle. C’est un revers pour la sénatrice Marie-Pierre de La Gontrie qui avait, au nom du Parti socialiste, présenté mercredi au Sénat une proposition de loi permettant d’autoriser le droit à bénéficier, sous conditions, de l’aide active à mourir via l’assistance médicale au suicide ou l’euthanasie. « Je ne crois pas que le moment choisi pour modifier le régime juridique de la fin de vie soit le moment opportun », a répliqué jeudi le ministre de la Santé Olivier Véran, soulignant que « nous sommes encore aujourd’hui en plein combat face à la crise sanitaire. » Un plan triennal Ce nouveau « plan national de développement des soins palliatifs et d’accompagnement de la fin de vie » prévoit notamment « un développement de la prise en charge en ville » des soins palliatifs et la mise à disposition du médicament midazolam « dès la fin 2021 », a précisé le ministre. L’usage de ce sédatif très puissant est pour l’instant réservé aux hôpitaux. Le ministre souhaite également « mieux faire connaître la loi actuelle aux professionnels et accompagnants » et d’intégrer dans le prochain budget de la sécurité sociales des financements pour les soins palliatifs. Cinquième du genre, ce plan triennal sera lancé dès le mois d’avril.Un programme qui ne remet pas en cause la loi actuelle sur la fin de vie du 2 février 2016, dit loi Claeys-Leonetti. Si ce plan va vers un meilleur encadrement de l’accompagnement à la fin de vie, il ne prévoit pas en revanche la légalisation de l’euthanasie, comme le réclame depuis quarante ans l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD). « La loi Claeys-Leonetti de 2016 ne répond pas à la demande de plus 90 % des Français qui selon une enquête IFOP réclament le droit de décider de leur fin de vie », a ainsi réagi sur France Inter Marie-Pierre de La Contrie. Les soignants dans l’impasse Une question qui met les soignants face à d’importants dilemmes moraux. L’hebdomadaire savoyard Le Faucigny révélait ainsi ce jeudi qu’un médecin de 64 ans, qui exerçait depuis 2019 dans une clinique de Haute-Savoie, a été mis en examen en décembre 2020 pour assassinats et placé sous contrôle judiciaire. Selon le journal, ce médecin généraliste spécialisé dans les soins palliatifs serait soupçonné d’avoir euthanasié plusieurs patients « âgés de 85 à 90 ans ». « Beaucoup de médecins refusent d’appliquer la loi actuelle et laissent leurs patients agoniser, dans des souffrances physiques et psychiques intolérables », s’était indigné de con côté Jean-Luc Romero Michel, président de l’ADMD, le 20 juin dernier dans une tribune du Monde. Dans un communiqué du 11 mars, l’ADMD annonce entamer un recours administratif en saisissant le premier ministre afin de modifier le Code de la santé publique et de permettre l’aide active à mourir. En cas de refus, l’association prévoit de saisir le Conseil d’État puis, le cas échéant, la Cour européenne des droits de l’homme. Reconnu par la Convention européenne des droits de l’homme, ce droit « devrait permettre à chacun de choisir le moment de sa mort, en particulier lorsqu’aucun traitement ne permet de soulager des douleurs insupportables », estime l’ADMD.Que dit la loi actuelle ? La loi actuelle sur la fin de vie du 2 février 2016, dit loi Claeys-Leonetti, clarifie les conditions les conditions de l’arrêt de traitement pour les patients. Conçue comme un prolongement de la loi de 2005, elle permet de mieux prendre en compte les directives formulées par un malade ou une personne de confiance et de les rendre éventuellement contraignante auprès des médecins. Elle instaure également un droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès pour les personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme. Les soignants ont l’obligation de « mettre en œuvre tous les moyens à leur disposition » pour que toute personne ait le droit d’avoir une fin de vie digne et accompagnée du meilleur apaisement possible de la souffrance, d’après l’article 1 de la loi. Les soins palliatifs se retrouvent également enseignés dans la formation de nombreux professionnels de santé. le lien ne fonctionne pas, désolée il suffit de taper ds un moteur de recherche le titre de ce post |
| | | Admin
Messages : 24286
| | | | Admin
Messages : 24286
| | | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 19.07.21 13:46 | |
| [size=49]Pour prouver à Google que vous n'êtes pas un robot, il suffira de cliquer sur un bouton[/size] Rédaction du Monde.frPublié le 11 décembre 2014 à 12h35 Temps deLecture 2 min.[size=81]Un "Captcha" est ce petit outil, très souvent exaspérant, pour vérifier que vous n'êtes pas un robot. Il vous est demandé de recopier un code, un texte souvent difficile à déchiffrer, pour accéder à un site et prouver votre qualité d'internaute humain.[/size] D'ailleurs, Captcha est un acronyme pour "Completely Automated Public Turing test to tell Computers and Humans Apart".Un des "Captcha" sur lesquels on tombe le plus souvent sont ceux de Google, baptisés "reCaptcha" du nom d'une compagnie rachetée en 2009. Arrivant au constat, cinq ans après, que les logiciels malveillants et/ou spammeurs contournent facilement cette vérification - "l'intelligence artificielle aujourd'hui peut résoudre même la variante la plus compliquée de texte déformé avec une exactitude de 99,8 %", selon une étude interne - Google a décidé de laisser tomber cette piste, et de tout simplifier.Le nouveau système, "No Captcha reCaptcha", ne vous demandera plus de recopier quelques lettres plus ou moins lisibles, mais simplement de cocher une case "Je ne suis pas un robot". Un test d'une facilité étonnante, puisqu'un programme informatique capable de déchiffrer les caractères des "captchas" est, bien sûr, capable de reconnaître la case en question.Sauf que cette fois, ce n'est pas la validité de la réponse qui permet de vous identifier comme humain mais... votre comportement au moment de répondre. En analysant, par exemple, votre temps de réaction ou le mouvement de votre souris, "No Captcha reCaptcha" peut s'assurer que vous êtes bien humain.En cas de doute, il vous sera proposé une série d'images, contenant par exemple des chiens et des chats. A vous de cocher celles qui représenteront les animaux demandés, un peu comme le système qui existe actuellement sur Facebook. Une variante sera développée pour tablettes et téléphones, qui, eux, ne disposent pas de souris.Travail gratuitJusqu'ici, "reCaptcha" avait une deuxième fonction, moins connue : numériser des livres. En effet, l'ancienne version proposait aux internautes deux séries de caractères. L'une servait effectivement de test, mais l'autre était un morceau de texte scanné par Google, issu par exemple de vieux livres ou journaux, indéchiffrable par des machines.Ainsi, en recopiant ces caractères, les internautes ont, lettre après lettre, contribué à la numérisation de millions d'ouvrages et d'articles de presse.En renonçant à ce système, Google renoncerait-il aussi à faire travailler les internautes gratuitement ? Pas exactement, suggère la BBC. Après avoir joué les bibliothécaires numériques, le géant américain cherche désormais à créer des programmes capables de déchiffrer les images - un problème complexe sur lequel s'acharnent ses développeurs.En scrutant les réponses de millions d'internautes sur les photos qu'il leur proposera, Google réussira peut-être à avancer dans son projet.VOUS ME FAITES CHIER, allez vous faire foutre Adios, bye-bye Admin |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 23.07.21 22:23 | |
| «Le pass sanitaire, on y mettra fin à la minute où nous le pourrons» : Olivier Véran face à nos lecteurs... non vaccinés
MENTEUR ! |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 24.07.21 21:28 | |
| attendez-vous à plusieurs séries de vaguelettes de non-covid vous êtes inconscients... |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 27.07.21 14:12 | |
| qui aurait cru qu'on pouvait en être à la 4e vague ? ben oui, on parle de 4e vague, on va aller jusqu'où ainsi ? jusqu'à quand ? qui exploite qui et comment avec ce virus covid ? ????????? |
| | | Admin
Messages : 24286
| Sujet: Re: Buzyn,Véran,fin de vie 30.07.21 15:17 | |
| Covid-19 : la France est "dans une vague psychiatrique", alerte le docteur Serge Hefez Serge Hefez, psychiatre et psychanalyste, alerte dimanche sur franceinfo sur l'état psychologique des Français qu'il juge "calamiteux" en raison de l'épidémie de coronavirus et de ses conséquences.
Article rédigé par
franceinfo Radio France Publié le 31/01/2021 09:47 Temps de lecture : 4 min. Un patient dans un couloir d'hôpital à Nancy. (ALEXANDRE MARCHI / MAXPPP) Un patient dans un couloir d'hôpital à Nancy. (ALEXANDRE MARCHI / MAXPPP) Serge Hefez, psychiatre et psychanalyste, responsable de l’unité de thérapie familiale dans le service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, a affirmé dimanche 31 janvier sur franceinfo que l'état psychologique des Français était "calamiteux". La santé psychique des Français est au plus bas depuis le début de la pandémie de coronavirus Covid-19. La décision du gouvernement de ne pas reconfiner permet aux Français "de maintenir un peu la tête hors de l'eau", se réjouit-il, alors que le pays est "dans une vague psychiatrique".
franceinfo : Dans quel état psychologique se trouve le pays ?
Serge Hefez : Il est effectivement calamiteux. Et ce n'est pas qu'une question de moral. On peut comprendre que le moral est atteint lorsqu'il y a une crise de cet ordre-là. Mais on s'est enfoncé dans une vague psychiatrique à proprement parler avec de la dépression, de l'anxiété et parfois même des troubles délirants. Les consommations d'anxiolytiques, d'antidépresseurs, de médicaments psychotropes, plus les consommations d'alcool et de différents produits, tout cela est totalement en hausse. Les tentatives de suicide également, et chez les plus jeunes. Donc, il y a quelque chose de très alarmant sur le plan psychiatrique, à l'heure actuelle. On est dans une vague psychiatrique.
Un pays tout entier peut être en dépression ?
Oui, parce qu'on n'avait jamais connu ça. On connaît un traumatisme qui dure à l'heure actuelle. Il y a eu traumatisme de l'épidémie, il y a eu le premier confinement. On pensait que cela allait être quelque chose d'un peu ponctuel. On a mobilisé nos défenses, notre énergie. Et puis on se rend compte que ça dure, ça dure, ça dure et qu'on n'en voit pas le bout. Et que même l'espoir du vaccin, effectivement, auquel il faut s'accrocher, eh bien, on entend qu'il y en a peut-être pas suffisamment, que cela ne va peut-être pas marcher sur certains variants, etc. Donc ça donne le sentiment qu'on est dans un tunnel sans fin.
Est-ce que les mesures que prend le gouvernement au fil de cette crise vous semblent justement de nature à préserver un peu le moral des Français ?
Évidemment, on ne peut pas jeter la pierre au gouvernement parce que c'est extrêmement difficile de pouvoir répondre à quelque chose que l'on ne connaît pas bien. Les scientifiques sont très divisés, par rapport aux mesures à prendre. Il se passe quelque chose de nouveau tous les jours et on a le nez dans le guidon en permanence pour prendre les décisions. Tout cela aboutit au fait qu'on est un peu dans des montagnes russes émotionnelles, c'est-à-dire que par moment, on a l'impression que ça y est, on va en sortir. Et puis on replonge. Et donc cette incertitude me paraît effectivement la plus pernicieuse par rapport au fait de pouvoir s'accrocher à un espoir, de pouvoir s'accrocher à des perspectives qui permettent de tenir dans l'adversité.
Le psychiatre que vous êtes se réjouit que le gouvernement ne reconfine pas les Français ?
Effectivement, je me réjouis plutôt de cette décision qui permet de maintenir un peu la tête hors de l'eau. Depuis des semaines, j'entends tellement de gens dans mes consultations qui disent, "mais encore un confinement, on ne le supportera pas. On n'en peut plus. Et puis celui-là, tant pis, on ne le respectera pas". Je ne sais pas si médicalement, c'est la bonne décision ou pas, psychiquement, cela l'est. On dit aux gens "eh bien écoutez, on est sur le fil, on est dans un moment dangereux, mais on fait appel à votre responsabilité, c'est-à-dire si effectivement, vous faites tout ce que vous pouvez et tout ce qu'il faut pour éviter les contaminations, pour être dans des mesures de prévention de bonne qualité, eh bien peut être qu'on évitera ce reconfinement". Ça me paraît mieux de s'adresser aux gens en s'adressant à leurs responsabilités que sur ce ton un peu paternaliste et autoritaire qu'on entend souvent en donnant des ordres et en disant "faites ci, faites ça" ! Les gens se sentent totalement infantilisés et cela accroît bien évidemment leur anxiété.
Les hésitations du gouvernement peuvent-elles rajouter à l'anxiété des Français ?
Mais c'est la réalité. On s'est cru tous protégés, par à la fois les scientifiques et par les dirigeants qui sont devenus tout puissants avec cette idée qu'on était dans une santé insolente, dans une économie qui fonctionne et que tout cela dépend des autres. On vit effectivement quelque chose de très nouveau par rapport à la façon dont on considérait notre santé. C'est-à-dire qu'on n'imaginait plus qu'on était mortels. On imaginait plus qu'on était des gens fragiles. Et cette épidémie, elle nous rappelle ça. Elle nous rappelle une condition humaine qui est la nôtre depuis toujours. Il y a toujours eu des épidémies, des guerres et des crises. Et donc, ça veut dire qu'on doit se considérer différemment comme être humain aujourd'hui. Et je pense que cette épidémie a été une leçon par rapport à ça. |
| | | | Buzyn,Véran,fin de vie | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|