HANDICHRIST Pêle-mêle, tout et rien |
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| Le scandale du siècle ! | |
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| Sujet: Le scandale du siècle ! 24.12.18 17:40 | |
| Plusieurs ONG veulent, par le biais d'une pétition, attaquer l'Etat en justice pour son inaction en faveur des problèmes écologiques de la planète. C'est " l'Affaire du Siècle" et le nombre des signataires s'élèveraient à deux millions ! ! ! Excellente astuce publicitaire pour ces ONG... ... Est-ce une suite ou une cassure pour les Gilets Jaunes ? Quoiqu'il en soit, le "Scandale du Siècle" n'a pas eu lieu quand François Hollande a fait de son engagement 21 sur le droit de mourir dans la dignité un énième brouillon d'une énième loi de Jean Léonetti sur la fin de vie. France, tu es de la merde. République Française, tu es de la merde. |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 09.07.19 19:59 | |
| [size=46]Paris se déclare en "état d'urgence climatique"[/size] Trop drôle ! Qu'est-ce qu'ils foutent, à Paris, pour un nouveau droit de mourir dans la dignité ? RIEN, rien, Rien. Pourtant, à la Marie de Paris... ils sont pour. Etonnant, non ? Voilà pourquoi je conseille de NE PLUS voter ( car ils se foutent de nous de toute façon ) Urgence attentat, je comprendrais à la limite... hello, le soleil brille, brille, brille, hello... |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 20.06.20 16:48 | |
| Un référendum sur l'écologie et RIEN, RIEN, RIEN sur la fin de vie ?
NE votez PAS, NE votez PLUS. STOP ! stop ! S.T.O.P. ! |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 26.06.20 17:09 | |
| MOQUÉE POUR SON EXCÈS DE ZÈLE FACE À LA GRIPPE H1N1, BACHELOT PARTAGE SON EXPÉRIENCE Jules Pecnard Le 30/03/2020 à 10:43
Roselyne Bachelot et François Fillon à l'Assemblée nationale, le 4 novembre 2009 Roselyne Bachelot et François Fillon à l'Assemblée nationale, le 4 novembre 2009 - AFP - Patrick Kovarik
Accusée il y a onze ans de trop en faire en termes de commandes de vaccins et de masques durant la crise de la grippe H1N1, l'ex-ministre de la Santé de François Fillon et Nicolas Sarkozy prend désormais la parole pour justifier son action préventive de l'époque. Longtemps raillée pour sa réaction jugée trop alarmiste face au virus H1N1 en 2009, Roselyne Bachelot se voit désormais sollicitée de toutes parts. Alors que l'actuel gouvernement se voit reprocher un manque de prévoyance face à la pandémie de Covid-19, l'ex-ministre de la Santé sort du bois pour partager sa propre expérience.
Il y a onze ans, Roselyne Bachelot - avec l'appui du Premier ministre de l'époque François Fillon, dont elle est proche - avait commandé des dizaines de millions de vaccins et de masques. Le tout pour un coût estimé entre un et deux milliards d'euros. De quoi susciter les interrogations et parfois franches critiques d'une grande partie de la classe politique.
"On s’était battu comme des lions" Aujourd'hui, alors que le nouveau coronavirus dévoile les carences des systèmes sanitaires de l'ensemble des démocraties occidentales, chacun bat sa coulpe.
"Je ne voulais pas faire partager le fardeau à d’autres en disant que je ne faisais qu’obéir à des ordres supérieurs. Pour moi, ce n’était pas défendable, quand on prend une décision on assume", explique-t-elle aujourd'hui auprès du Figaro. Et l'ancienne députée de Maine-et-Loire d'offrir un éclairage sur ses choix de l'époque:
"On a vacciné près de 6 millions de personnes, c’est ce qui a participé à l’extinction de l’épidémie. En vaccinant les plus fragiles, on a empêché que des surcontaminateurs se promènent dans la population générale." Roselyne Bachelot n'est pas la seule à raconter son vécu aux manettes face à ce virus. François Fillon, Premier ministre donc de Nicolas Sarkozy, loue un "travail collectif".
"On avait monté avec Roselyne un petit commando pour mettre en place l’approvisionnement en vaccins. Toute l’Europe en voulait. On s’était battu comme des lions pour forcer les laboratoires à nous donner les stocks de vaccin dont on avait besoin. Il y avait aussi le sujet des masques", explique l'ex-député de la Sarthe. L'ancien chef du gouvernement raconte par ailleurs "des débats très difficiles" en interne.
"Certains au sein de nos cabinets, de nos équipes pensaient qu’on en avait fait trop", ajoute-t-il, affirmant ensuite que "Nicolas Sarkozy était plus volontaire". "La préparation maximum est la bonne" Avec le recul, Roselyne Bachelot se dit "persuadée et les éléments le prouvent que la théorie de la préparation, de la préparation maximum, est la bonne". Fin 2009, la France détenait un stock de près de 1,7 milliard de masques. Un chiffre qui, au début de la pandémie due au nouveau coronavirus, était de 117 millions. D'où les nombreuses commandes annoncées par l'actuel ministre de la Santé, Olivier Véran.
"On a arbitré en se disant qu’on nous reprocherait beaucoup plus une catastrophe sanitaire qu’une erreur sur le nombre de vaccins commandés. C’est le rôle du politique par rapport aux scientifiques de trancher", défend de son côté François Fillon.
Dans un long portrait que lui a consacré Le Monde, Roselyne Bachelot dit s'être "retrouvée seule".
"Avec quelques messages sympas, parfois. Je me souviens de Brice Hortefeux, alors ministre, me disant, lors d’un déplacement en Auvergne: 'Je veux te remercier, tu n’as jamais posé le chapeau sur quelqu’un d’autre'…", tempère-t-elle. SUR LE MÊME SUJET Identification, modélisation, vaccin: la course contre-la-montre des scientifiques contre le coronavirus L'ex-ministre de la Santé admet toutefois avoir agi "au doigt mouillé" pour la commande des 94 millions doses de vaccins. Elle s'était basée sur l'avis d'experts, qui estimaient que 33% des Français ne se feraient pas vacciner.
"Pour nous, politiques, le risque d’en faire trop est devenu plus grand que de ne pas en faire assez", observe-t-elle aujourd'hui. Jules Pecnard |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 26.06.20 17:21 | |
| Depuis la canicule de 2003, l’ombre du «syndrome Mattei» Par Eric Favereau — 23 juin 2019 à 20:57 L’épisode de chaleur non anticipé par le ministère avait causé une forte surmortalité. Désormais, les autorités sont sur le pont. Depuis la canicule de 2003, l’ombre du «syndrome Mattei» «Prêt», tel est le maître-mot du moment face à la canicule qui arrive. «On est prêt, on sait ce qu’il y a à faire, et si cela s’aggrave, on déprogrammera des interventions dans d’autres services», souligne Philippe Juvin, chef du service des urgences de l’hôpital Georges-Pompidou à Paris. Sous-entendu : dans les hôpitaux on laissera de côté certaines tâches moins prioritaires pour s’occuper des victimes de la canicule si besoin. Même son de cloche de la part de Bruno Riou, ex-chef des urgences de l’hôpital la Pitié-Salpêtrière et doyen de la fac de médecine, avec néanmoins une pointe d’inquiétude : «Ça ira, les équipes sont très réactives. Sauf si ça dure trop longtemps. Là il pourrait y avoir des problèmes car ça intervient à un moment où les urgences sont dans un état d’extrême tension.»
Prise de conscience «Prêt»… C’est ce qualificatif qui fait toute la différence avec ce qu’il s’est passé au mois d’août 2003 lors d’un long et dramatique épisode caniculaire marqué par un excès de mortalité de l’ordre de 15 000 personnes. A l’époque, rien n’était prêt. Et surtout, personne ne s’y attendait. «Comment prévoir et imaginer des réponses face à ce que l’on n’avait pas envisagé», nous expliquait alors le professeur William Dab, chargé des questions de santé publique au cabinet de Jean-François Mattei, ministre de la Santé en 2003.
Les fortes températures avaient beau s’installer et cela pendant plusieurs semaines, nul ne s’en inquiétait d’un point de vue sanitaire. Oui il fait chaud, et alors ? Le ministre était resté tranquillement en vacances dans sa maison du sud de la France. Et les deux conseillers de permanence au cabinet de Mattei à Paris – Cédric Grouchka, en charge des hôpitaux, et Dab en charge de la santé – avaient beau recueillir l’un et l’autre des signes alarmants, avec une montée inquiétante du nombre de passage aux urgences mais aussi des études montrant les conséquences sanitaires des épisodes caniculaires, chacun restait dans son domaine. Et personne ne faisait de liens entre les deux. Il faudra les gueulantes répétées d’un urgentiste, Patrick Pelloux, personnalité forte et rebelle du milieu, pour se rendre compte que la canicule pouvait tuer.
Faut-il rappeler qu’en 2003, aux urgences, parfois on se trompait. Quand une personne âgée se présentait avec une forte température, les médecins mettaient cela sur le compte d’un épisode infectieux plutôt que sur les effets de la chaleur.
Seize ans plus tard, tout a changé. L’expérience terrible de l’été 2003 a provoqué une forte prise de conscience des autorités sanitaires, qui ont commencé peu après à élaborer de véritables politiques publiques de prévention de la canicule. Avec la mise au point de plans qui comportent des échelles de gravité et de réactions. Et surtout, une collaboration entre les différents acteurs sur le terrain.
«Pendant la période estivale, est-il ainsi écrit dans le plan national canicule, les agences sanitaires s’assurent […] de l’organisation de la permanence des soins en médecine ambulatoire [la médecine de ville, ndlr] dans les départements.» Et aussi de la «programmation anticipée et coordonnée au niveau régional et au sein de chaque territoire de santé, des capacités d’hospitalisation et de leur adaptation en fonction des fluctuations saisonnières». Autrement dit, les agences sanitaires sont en première ligne.
Grande tension Autre mesure particulièrement efficace : l’obligation faite aux Ehpad et aux services hospitaliers d’avoir une salle avec air conditionné. Ou encore la vigilance accrue demandée aussi bien à destination de ceux qui travaillent à l’extérieur que vers les jeunes enfants et les personnes âgées. Enfin, le déploiement de messages répétés incitant à boire et à s’hydrater, ainsi que la multiplication des sources d’eau potables en ville a eu un impact réellement efficace.
Pour autant, on ne peut pas dire que tous les objectifs ont été atteints, en particulier sur l’habitat – un des défis des années à venir : mieux isoler les logements de la chaleur.
Il n’empêche, depuis 2003, le changement aura été spectaculaire. La canicule fait aujourd’hui partie des risques pris en compte par les autorités publiques et les ministres sont désormais sur le pont. L’an dernier, on a ainsi vu Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, se démener, poursuivant en pleine trêve estivale ses visites dans les établissements de santé. Avec déclarations et conseils en tous genres à propos de la canicule. A tout prix, il fallait éviter le «syndrome Mattei». Et l’été 2018, en dépit de quelques journées de fortes chaleurs, s’est plutôt bien passé.
Cette année encore, tout est donc prêt. Avec une différence de taille : le principal acteur, le monde hospitalier, est en grande tension. Supportera-t-il ce coup de chaud s’il dure longtemps ?
POUR QUAND, LE SYNDROME Jean Léonetti ? |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 26.06.20 17:27 | |
| Vincent Humbert Vincent Lambert Anne Bert Trois noms français qui riment bien ensemble... |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 26.06.20 18:02 | |
| Des millions d’enfants au Yémen risquent de se retrouver « au bord de la famine », alerte l’Unicef Le nombre d’enfants mal nourris pourrait atteindre 2,4 millions d’ici la fin de l’année. Le Fonds de l’ONU pour l’enfance appelle alors la communauté internationale à financer l’aide humanitaire.
Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 04h20, mis à jour à 08h41
Nous, les citoyens français, nous n'avons pas honte de réclamer le droit de mourir sans faim ni soif ?
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 26.06.20 18:08 | |
| https://www.handichrist.net/t1175-janvier-2011-fin-de-vie-echec-d-une-loià cause d'un Premier Ministre F.F. sous N.S. et à cause d'un candidat devenu Président de la République; "toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander dans des conditions précises et strictes à bénéficier d'une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité" (proposition 21 du candidat Hollande ). |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 29.06.20 13:12 | |
| 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016
soins palliatifs blablabla noble et digne ??? Léonetti 22 avril 2005
OU
1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
euthanasie suicide assisté blablabla noble et digne ??? Léonetti 22 avril 2005
Bref...
2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022 ... ... .. blablabla noble et digne ??? |
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| Sujet: Re: Le scandale du siècle ! 05.07.20 11:47 | |
| Coronavirus : le rapport au vitriol des pompiers sur la gestion de la crise
Coronavirus : le rapport au vitriol des pompiers sur la gestion de la crise
Dans un rapport auquel Le Parisien a eu accès, les pompiers s'attaquent aux instances et aux nombreux manquements qu'ils ont constaté durant cette épidémie de Covid-19.
Les pompiers vident leur sac.
Le Parisien révèle dimanche 5 juillet les extraits de leur retour d'expérience (Retex) sur la gestion de l'épidémie de coronavirus en France. Un rapport qui pointe du doigt plusieurs erreurs majeures des instances du pays selon eux.
Tout d'abord, les pompiers n'ont pas compris leur utilité durant cette crise sanitaire. Ils ressentent le sentiment « d'un sous-emploi et d'une absence de prise en compte des capacités opérationnelles » à disposition au plus fort de la tempête.
Ils s'estiment pourtant qualifiés pour venir en aide à la population. « Les pompiers c'est une force de 250 000 personnes réparties dans 7 000 casernes sur tout le territoire. Nous sommes rompus à la gestion de tous les événements. On a fait face au H1N1, à la grippe aviaire, aux accidents industriels, aux attentats... À chaque fois, on s'adapte, et là le mot d'ordre c'était tout sauf les pompiers », confie le colonel Grégory Allione, président la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France.
À ses yeux, l'État s'est trop reposé sur des administrations qui n'avaient pas forcément les moyens de répondre parfaitement aux problématiques qui touchaient le pays. « Rien dans leur organisation et leur culture ne les prédisposaient à assurer ce rôle. On ne demande pas à des musiciens qui ne répètent pas des gammes quotidiennement de jouer un concert », estime-t-il auprès du Parisien.
Un problème de gouvernance ?
Outre le cas précis des pompiers, c'est la gestion globale à l'échelle du pays qui est dénoncée dans ce Retex. Les pompiers ne comprennent pas qui a réellement pris les décisions majeures. « Pour être efficace, la gestion d'une crise d'ampleur doit mobiliser un directeur unique, un commandant des opérations unique et des conseillers techniques », déclarent-ils dans ce rapport. Une manière de critiquer le fait que ce soit le ministère de la Santé, via la direction générale de la santé, qui a d'abord géré la réponse de l'Etat avant que le ministère de l'Intérieur intègre le dispositif plus tard durant la crise.
Les critiques des pompiers visent notamment les agences régionales de santé qui n'étaient « aucunement préparées à la gestion des situations d'urgence ». « Elles ont semblé accaparées par la gestion du nombre de places en réanimation hospitalière et par les remontées statistiques », juge le rapport. « Plutôt qu'une crise sanitaire, cette crise a surtout été celle du leadership de la communication. » Ils prennent notamment en exemple le déplacement de patients via des TGV médicalisés en indiquant qu'il aurait fallu davantage impliquer les cliniques privées locales. Ils n'hésitent d'ailleurs pas à dénoncer un coup de communication.
Enfin, durant le plus fort de cette crise sanitaire, le numéro du Samu s'est retrouvé saturé par un important nombre d'appels. L'absence d'un second numéro afin de pouvoir trier entre les demandes urgentes et non-urgentes reste incompréhensible aux yeux des pompiers. « Des requérants non-Covid en situation d'urgence vitale n'ont jamais eu de réponse et sont morts dans l'indifférence générale. Un vrai scandale », s'indignent-ils. |
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